Coupe du monde
Datte: 17/05/2021,
Catégories:
fhhh,
inconnu,
hépilé,
Voyeur / Exhib / Nudisme
odeurs,
massage,
Oral
pénétratio,
double,
Partouze / Groupe
fsodo,
délire,
Humour
sf,
fantastiqu,
Auteur: Radagast, Source: Revebebe
... était capable de le serrer entre les deux pointes de sa langue. Il était plus agile avec sa langue que beaucoup d’hommes avec leurs doigts. Sans m’en rendre compte, je perdis ma jupe et mon slip.
J’étais délicieusement assaillie par quatre Zlagouilliens pleins d’idées salaces.
Ce qu’ils faisaient à mes tétons, ils le firent à ma chatte.
J’étais allongée sur ce grand fauteuil, les jambes écartées. Mon petit bourgeon décalotté se faisait triturer par une langue diabolique. Il se dressait tel le Pain de Sucre à Rio, tout heureux d’être à telle fête. Je me sentais partir, tomber dans les pommes tellement c’était bon.
Mais je n’avais pas encore tout découvert.
De doux doigts écartèrent encore plus mes lèvres, très délicatement. Une autre langue pénétra mon vagin. Elle y remua et y mena une sarabande effrénée, fouillant d’un côté et de l’autre mon intimité, y trouvant des points sensibles dont j’ignorais l’existence. Mon cœur battait à deux cents à la minute. Je me disais qu’il ne pouvait y avoir mieux.
Erreur. Le quatrième larron s’intéressa à mon anus et y mena la même activité que son collègue dans mon minou. Mon corps se tétanisa, s’arqua et se tendit. Je ne pensais pas pouvoir jouir avec une telle intensité et aussi vite.
J’en sortis essoufflée, ébouriffée, en vrac !
« S’il vous plaît, qu’on me ramasse à la petite cuillère… »
Je dégoulinais de partout. J’avais la praline en délire.
Les yeux fermés, je goûtais l’extase présente.
Des bruits ...
... feutrés me sortirent de mon ébahissement. Suite logique des choses, face à moi, quatre Zlagouilliens nus comme des lézards me fixaient avec envie.
En retour, je fixais émerveillée quatre Zlagouilliens nus.
Qu’ils aient une peau lisse et luisante comme un métal précieux, pourquoi pas ?
L’un semblait doré, deux autres gris acier, le dernier avec des reflets verts. Leurs muscles pectoraux et abdominaux qui se dessinaient et roulaient sous leur derme me séduisaient.
Que dire de ce que je vis entre leurs jambes… Les Zlagouilliens n’étaient pas bifides que de la langue ! Devant mes yeux écarquillés, huit belles verges se dressaient fièrement.
Zamboum spécifierait : verges, bites, phallus, quéquettes…
Ce n’étaient pas des monstruosités, des choses énormes ; non, j’ai connu des hommes bien mieux équipés, mon mari par exemple. Les dimensions ne m’impressionnaient pas outre mesure : longues mais pas très épaisses. Mais là, il y en avait deux pour le prix d’une ! Dessous, des petits sacs de peau pendouillaient.
J’étais toujours allongée sur le dos les jambes en l’air. Zourglim s’approcha et s’allongea sur moi. Je le laissai faire.
Je ne cessais de me répéter« Pardon, mon chéri, mais il y a des choses qui ne peuvent pas se refuser. Et je ne te trompe pas : je participe à une expérience scientifique et établis des relations diplomatiques ! »
Je senti sa « première » queue se poser à l’entrée de ma bonbonnière. Qu’allait-il faire de la seconde ? Il me souleva les ...