1. Coupe du monde


    Datte: 17/05/2021, Catégories: fhhh, inconnu, hépilé, Voyeur / Exhib / Nudisme odeurs, massage, Oral pénétratio, double, Partouze / Groupe fsodo, délire, Humour sf, fantastiqu, Auteur: Radagast, Source: Revebebe

    ... caoutchouc. Un vieux siège de deux chevaux.
    
    Les deux gugusses remontèrent à l’avant ; un coup de contact et la voiture quitta le sol.
    
    J’essayai de réciter le Notre-Père, mais je me mélangeais dans les paroles.
    
    Je voyais à travers la vitre un énorme engin, aux contours légèrement lumineux, bleutés, semblant animés d’une pulsation. La lumière changeant de teinte toute les deux ou trois secondes, passant du bleu clair au plus foncé.
    
    L’appareil ressemblait à un long tube, une de ses extrémité terminée par deux protubérances globuleuses, l’autre côté par un renflement bulbeux muni d’une rangée de hublots, verticale.
    
    Je ne pouvais qu’estimer sa taille, n’ayant aucun point de comparaison. Je dirais cent mètres de long sur cinquante de diamètre.
    
    Une trappe s’ouvrit dans le ventre du monstre volant ; la deux chevaux s’y engouffra.
    
    De puissants phares éclairaient notre véhicule tandis que des bras à ventouses vinrent maintenir en place ses roues.
    
    Deux autres personnages apparurent à l’extérieur, identiques à mes deux kidnappeurs. Ils étaient cependant vêtus de combinaisons blanches.
    
    — Veuillez sortir du véhicule, je vous prie.
    
    Le chauffeur, toujours aussi poli, m’ouvrit la portière. Tremblante, je descendis de la deudeuche volante.
    
    — Qu’as-tu ramené de ta sortie, Zourglim ?
    
    Un des assistants venait d’interpeller mon chauffeur kidnappeur.
    
    — C’est une femelle. Elle a deux protubérances caractéristiques sur le poitrail.
    
    Un des personnages prit ...
    ... un cube ; en sortit un hologramme qui se matérialisa devant son visage, sans aucun support. Je voyais la représentation d’une femme qui tourne sur elle-même, je voyais sur les côtés des annotations, des légendes. Il agrandit l’image, zooma sur la poitrine et dit :
    
    — Ce sont des seins. Ou nénés, lolos, nichons, roploplos.
    — Merci Zamboum.
    — Tu crois qu’elle nous sera utile ?
    — Oui ; les femelles de cette espèce sont plus futées que les mâles. Plus courageuses aussi.
    — Oui… elle s’est quand même pissé dessus !
    — Le dernier mâle que tu as ramené a chié partout, de frousse. J’ai mis dix rotations pour tout nettoyer.
    — Chié ?
    
    Le dénommé Zamboum reprit son cube, en sortit une autre fiche virtuelle, sélectionna l’image d’une cuvette de WC.
    
    — Chier : déféquer, caguer…
    — C’est bon !
    
    Je nageais en plein délire. Ces… personnages discutaient entre eux de moi, je les comprenais. Ils parlaient français.
    
    Je tremblais ; mes jambes se dérobèrent.
    
    — Elle fait un malaise ; vite, au laboratoire !
    
    « Non, pitié, pas le labo. »
    
    Ils m’allongèrent et me sanglèrent sur une sorte de civière et m’emmenèrent dans les profondeurs du vaisseau. Notre étrange procession entra dans un gigantesque local aux murs couverts d’écrans en tout genre ; des tables d’opération égayaient la salle !
    
    — Mon chéri, mon amour… pourquoi t’ai-je quitté ? Mon chéri, mon amour, je te jure d’aimer le foot.
    — Elle parle !
    — Bien sûr qu’elle parle. Les femelles savent parler aussi. D’après la ...
«1234...15»