1. La piscine


    Datte: 13/05/2018, Catégories: fhh, couleurs, extracon, piscine, parking, jalousie, pénétratio, amourdram, Auteur: Mamadou, Source: Revebebe

    ... pour garder Nathalie.
    
    Et il y a Marion la gamine de Nathalie, deux ans au prochain printemps, adorable tête blonde, encore innocente. Je l’aime aussi. Depuis un peu plus de six mois, je joue ce père attentionné qui lui fait défaut. En ce moment Marion dort dans la chambre contiguë.
    
    Lorsqu’on m’a proposé cette mission au Mali, j’ai hésité, pas très chaud pour les laisser seules en France. Déjà jaloux, déjà désillusionné ; c’est alors que m’est venue l’idée de les emmener avec moi. Nous avons loué deux chambres communicantes.
    
    Le spectacle de mon humiliation m’insupporte, je rentre pour le fuir et vais jeter un œil à la petite, elle dort, cheveux épars autour de son joli minois d’angelot. Ce tableau paisible m’aide à retrouver mes esprits mais tout comme les drogués, je ne résiste pas longtemps sans mon poison.
    
    De retour sur le balcon, la scène m’apparaît d’un coup bien vide, Nathalie n’est plus à l’horizon ni aucun de ses deux prétendants. La jeune femme noire et son compagnon, qui tous deux s’esclaffaient, il n’y a qu’un instant, sont toujours là, à la même place, ils n’ont pas bougés et discourent entre eux, mais de Nathalie, point ! Et des deux autres, pas davantage.
    
    La disparition me désarçonne ; ma détermination initiale ne tient plus ; je veux savoir, je veux voir. Pourquoi cette fringale irrésistible ? Je suis bien en peine de répondre d’autant que de mon côté rien n’a changé, j’accepterai tout et le pire. Le pire ! Je le soupçonne.
    
    J’ai vérifié ...
    ... autour de la piscine sans la trouver ; la femme et l’homme aux rires faciles me regardent chiner mais sans plus, assez peu intéressés par mon manège. Ils ne me connaissent pas, je ne les connais pas. Point ! J’ai été tenté de leur demander où était Nathalie mais, tout bien réfléchi, je n’en ai rien fait. Qu’auraient-ils répondu ? Un mensonge ? La vérité ? Et quand cela serait, qu’aurais-je fait ? Pas grand-chose, sinon dénoncer incidemment mon émoi et par suite rapprocher un peu plus ces échéances que j’appréhende.
    
    Sage raisonnement ! Mais la lucidité ne calme pas la surexcitation qui me ronge. Mon esprit ne connaît pas la paix, mon corps refuse le repos, il me faut bouger, je suis monté sur ressort, monter, descendre est mon lot aujourd’hui, je ne tiens pas en place. J’ai parcouru inutilement les couloirs de l’hôtel. C’est par inadvertance que j’atterris sur cette passerelle surplombant le parking de l’hôtel. Une vingtaine de voitures y sont garés.
    
    Il m’est impossible de ne pas les voir ; ils sont là, tous les trois, nus des pieds à la tête, près d’unNissan Patrol dont une portière est restée ouverte. L’un des Noirs est en train de pisser, arrosant copieusement le pneu d’une voiture garée à proximité, l’autre homme est tout à son ouvrage. Il ahane bruyamment, défonçant le cul de Nathalie laquelle prend appui sur l’aile avant gauche, encaissant chaque coup de boutoir au prix d’un mouvement de roulis et laissant chaque fois échapper un râlement de gorge. Ses seins, qu’elle a ...