1. Le fils du boulanger


    Datte: 16/05/2021, Catégories: fh, jeunes, fdomine, Oral pénétratio, init, inithf, occasion, Auteur: Arnaud 1, Source: Revebebe

    ... Il s’est laissé faire, n’a pris aucune initiative, il a fallu que je le guide pour qu’il m’enfile, je ne comprends pas. Je le crois un peu timide ou a-t-il eu peur de se faire surprendre par son père qui dormait dans la chambre à côté ? J’ai besoin de me doigter, d’évacuer la pression qui est encore en moi, de me faire du bien. Je passe un doigt à l’intérieur, le sors, le goûte, il reste encore du foutre. Pourtant je croyais avoir tout vidé dans les toilettes. Heureusement que je prends la pilule. Ce coup de bite m’a laissée sur ma faim.
    
    Le lendemain, je décide donc d’aller faire un tour dans le patelin ! Et je rencontre le garçon d’hier qui discute avec un copain. On s’embrasse, il me présente. On parle un peu et le copain trouve un prétexte pour nous quitter. Restés seuls, nous marchons tranquillement côte à côte, parlant de choses sans importance. Chemin faisant, on passe devant le domicile de mes grands-parents.
    
    — J’ai soif, pas toi ?
    
    Je l’invite à entrer pour boire quelque chose, car il fait chaud. On entre, on s’installe dans la cuisine, il prend un jus d’orange comme moi. On reste debout, il est un peu gêné de se trouver seul avec moi. Il est devant moi, je regarde la bosse qui apparaît dans son pantalon.
    
    — Attends, j’ai quelque chose à te montrer !
    
    Je vais dans ma chambre. Je sens qu’il est derrière moi, me suit en silence. Soudain je me retourne, il est là, bras le long du corps, interdit, m’examine de la tête aux pieds.
    
    — C’est là que tu dors ...
    ... ?
    
    Je décide de le provoquer. Je m’approche de lui, me frotte, l’embrasse en cherchant sa langue, passe ma main dans son entrejambe, appuie sur les couilles. Je sens une bosse qui déforme de plus en plus son pantalon. Il me repousse
    
    — Qu’est-ce qui te prend, tes parents risquent d’arriver !
    — Non, ça ne risque pas, ils sont au travail !
    — J’n’ai plus rien à faire chez toi, je m’en vais !
    
    Il se retourne et se dirige vers la porte. Je l’attrape par le bras, le retiens.
    
    — Pourquoi tu m’as suivi dans ma chambre ?
    — Je ne sais pas, par curiosité !
    — C’est tout, t’en es sûr ? Je vois à la bosse de ton pantalon que c’est parce que tu as envie de moi !
    
    Je m’avance, me colle contre lui, mais cette fois j’attaque directement la ceinture, puis la braguette. Il me repousse brutalement des deux mains.
    
    — Fous-moi la paix, j’avais soif, c’est tout !
    
    Mais j’ai eu le temps de déboutonner la ceinture, d’ouvrir la braguette, le pantalon tombe à ses pieds, l’entrave. Il est tout penaud, prend un air gêné, surtout que le boxer ne dissimule rien !
    
    — De quoi as-tu peur, je ne te plais pas ?
    — Si, bien sûr !
    
    Je reviens à la charge, me plaque contre lui, frotte mon ventre contre son sexe, met ma tête sur son épaule, d’une main je comprime sa queue au travers du boxer. Il pose ses mains sur mes fesses, remonte ma jupe doucement, passe dessous. Il est sur ma peau, je n’ai pas mis de culotte. Il est surpris, j’écarte les jambes, il passe sa main entre, la met sur ma vulve, ...
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