1. Le fils du boulanger


    Datte: 16/05/2021, Catégories: fh, jeunes, fdomine, Oral pénétratio, init, inithf, occasion, Auteur: Arnaud 1, Source: Revebebe

    Cette histoire m’est arrivée alors que j’avais à peine 18 ans. Étant en été, j’ai eu l’occasion de passer deux semaines de vacances chez mes grands-parents, dans un petit village de province. Quelques années auparavant, j’avais fait la connaissance d’un gamin de mon âge, fils du boulanger. Un après-midi, alors que je me promène, je le rencontre. Nous faisons un bout de chemin ensemble, discutons. Il m’invite à monter dans sa chambre pour écouter le dernier disque qu’il vient de se procurer. Je le suis. Il me fait passer par une entrée de service de l’arrière-boutique, on monte à l’étage. Sa mère est occupée avec des clients, son père se repose dans la chambre à côté. Il commence très tôt pour faire le pain et les croissants et ensuite faire sa tournée dans les villages alentour. Nous arrivons dans la chambre, je m’assois sur le lit, le regarde. Il a l’air timide, me dit :
    
    — C’est la première fois qu’une fille entre ici, je n’y amène que mon meilleur copain.
    
    Il vient s’asseoir à côté de moi, a l’air quelque peu emprunté, ne dit rien. Je le repousse un peu pour qu’il me laisse la place, m’allonge. Il ne bouge pas, puis se tourne vers moi, se met à genoux sur le lit contre moi, me regarde, ne dit mot, je ne sais pas à quoi il pense. Je lui prends la main, la tire, la plaque sur mon sein. Incrédule, il hésite, s’enhardit, la presse, ce qui le fait durcir et le téton s’ériger, ma respiration s’accélère. Je ne dis rien, ferme les yeux, attends la suite.
    
    — Je peux les ...
    ... regarder ?
    
    Sans attendre la réponse, sa main quitte mon sein, il déboutonne mon chemisier, l’ouvre. Je n’ai pas de soutien-gorge, je n’en ai pas besoin, mes seins sont petits et fermes (85 C). Enfin il parle !
    
    — Qu’ils sont beaux ! Je peux les toucher ?
    — Suce mes tétons !
    
    Il prend mes seins l’un après l’autre, les pétrit, agace les bouts, les suce. Ma poitrine durcit, les mamelons s’érigent. Je remue le torse, le bassin, pousse des soupirs. Je sens que je mouille, laisse faire, c’est bon. Alors que sa bouche aspire un téton, je sens que sa main quitte mon sein, descend doucement sur ma peau, me caresse, passe sur la ceinture de la jupe, continue à descendre, appuie sur mon pubis. Pas de réaction de ma part. Elle arrive sur mon genou, remonte lentement sous la jupe, la soulève, ses doigts frôlent ma cuisse telle une caresse. Que c’est bon de la sentir aller le long de ma cuisse, passer entre mes jambes. Je bouge, les écarte légèrement. Ça y est, elle est sur ma culotte, passe entre mes cuisses, appuie sur ma vulve, la caresse au travers du tissu, essaie de l’écarter pour y passer les doigts.
    
    Je ne peux pas tenir plus longtemps, j’ai envie de sa bite. J’enlève sa main, me redresse, le repousse, il descend du lit, est debout, me regarde surpris. Je m’assois au bord du lit, ouvre la braguette, passe ma main dans le jean, cherche la queue. Il est tellement surpris par l’attaque qu’il en reste pantois. Il me laisse presser sa bite au travers du boxer. Il bande dur. Je ...
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