1. Une branlette inoubliable


    Datte: 23/01/2018, Catégories: Accouplements Érotiques, Auteur: byVictoriaLucas, Source: Literotica

    ... une humidité à la pointe. Mon corps se mit à bruler avec désir.
    
    Louis arrachait ma chemise ; je ne portais pas de sous-vêtements. Je déchirais alors son boxer pour libérer son corps, et nous sommes finalement tous les deux nus.
    
    Il me prit par la taille, et me retourna, me poussant sur le lit.
    
    De dos, je continuais à tirer doucement sur sa verge, du bout de mes doigts. La baguette commençait à cuire...
    
    Je regardais Louis. Ses yeux s'étaient refermés. Je regardais sa queue, les veines gonflées à bloc, et elle vibrait dans ma main. Je commençais à caresser plus rapidement.
    
    Je sentais Louis trembler.
    
    Du liquide fit son apparition à la pointe de sa queue. Aussitôt, je l'étalais le long de sa verge, l'utilisant comme lubrifiant. Ma prise sur la bite de Louis se resserrait, avec des caresses plus longues, plus fermes.
    
    Louis gémit de plus en plus fort. Soudain, ses yeux s'ouvrent, et il se mit à me regarder, à la fois embarrassé et affamé.
    
    Je continuais avec le même rythme et caressait ses bourses, délicieusement poilues, les tenant dans ma paume avec douceur.
    
    Louis commençait à gémir dans un rythme régulier. Tenant toujours ses couilles, je me mis à lécher le liquide qui s'écoulait de son membre noble, et parcourant sa longueur avec ma langue. Et là, je pris les couilles dans ma bouche, en continuant de le branler. D'un coup, j'inversais l'action. Je pris toute sa grande verge dans la bouche, jusqu'au fond de ma gorge, et saisissant à nouveau ses ...
    ... couilles dans ma main comme des boules Baoding. Encore et encore, je poursuivais les vas et viens...
    
    Le visage de Louis était crispé, avec un plaisir embarrassé. Embarrassé que ce qui était masque par sa façade ait été découvert. Embarrassé d'avoir si besoin de moi. Embarrassé d'être si exposé.
    
    Soudainement, se saisissant de ma main, il se mit à planer devant moi, à quatre pattes. Pendant ce temps, je continuais toujours de le branler rapidement.
    
    « ...Je veux te prendre... » dit-il, désespérément.
    
    Sa bite a plané au-dessus de mon estomac, et quand il essaya de descendre, je l'arrêtais. Je me remis à le branler rapidement, ce jeune mec avec son cul à l'air, les jambes obscènement écartées.
    
    Je trayais sa baguette magique avec un profond plaisir. Elle était gonflée, enflée, et moi, ivre de désir, conservant le pouvoir au bout de mes mains.
    
    Louis émit alors un gémissement, long et bruyant. « Je vais jouir », dit-il. Le bonhomme -- il ne voulait pas jouir sans avoir partagé le plaisir avec moi. Il ne savait pas à quel point j'avais pris plaisir a simplement regarder le spectacle devant moi.
    
    « Vas-y » j'ai dit. « Je veux que tu jouisses, Louis. »
    
    Je le branlais alors à la pointe, autour du gland, aussi vite que possible, et avec l'autre main je caressais ses couilles. La bite gonflée et dure comme du fer planait au-dessus mes seins, prêt à exploser.
    
    Louis, complètement désarmé, émit une succession de cris brefs et forts. Et là, ses yeux à nouveau fermes, perdue ...