1. Une branlette inoubliable


    Datte: 23/01/2018, Catégories: Accouplements Érotiques, Auteur: byVictoriaLucas, Source: Literotica

    ... lieux très consciencieusement : la salle de bain par-ci, le canapé par-là, la cuisine là-bas. « Voilà la machine à café, tu peux te faire un café demain matin. Je vais faire une grasse matinée ; n'hésites pas de sortir quand tu veux. Content de t'avoir rencontrée. Passe une bonne nuit, et je te souhaite un bon voyage. »
    
    Sur ce, il disparut dans sa chambre. J'en profitais alors pour aller me changer et enfiler ma chemise de nuit. Je m'allongeais sur le canapé et m'endormit presque aussitôt.
    
    Après avoir dormi paisiblement quelques heures, soudainement, je me réveillais, le front brûlant, en sueur, avec la gorge sèche.
    
    J'avais besoin de quelque chose... Un verre d'eau, peut-être.
    
    Mais où était la cuisine? C'était une cuisinette, typique des petits appartements parisiens, à peine plus grande qu'un placard. Étrangement, et ça n'était vraiment pas pratique, elle était cachée derrière une porte, au lieu d'être rattachée au salon, comme on aurait pu imaginer.
    
    Est-ce que c'était la porte de droite ou celle de gauche? Je ne me rappelais plus.
    
    Voilà les deux portes, divergeant d'un salon jaune.
    
    Et moi -- j'ai pris la porte de gauche --
    
    Et c'est ça qui a tout changé.
    
    ~*~
    
    J'ouvris la porte. Immédiatement, j'ai heurté quelque chose -- quelque chose de doux, endormi, et pourtant ... dur.
    
    C'était Louis. Il m'a alors regardé, les yeux écarquillés. « Madame, » il a balbutié, (Madame? je suis une jeune fille, moi ; il était nerveux, le pauvre) « Excusez-moi -- ...
    ... j'étais en train de prendre un verre d'eau ; je me suis réveillé soudainement et je n'arrivais pas à me rendormir. J'espère que je ne vous avez pas fait mal. La salle de bain... - ce qu'il pensait que je cherchais -- c'est par là. »
    
    « C'est pas grave... Merci, Louis. »
    
    Et pourtant, je ne bougeais pas. Je le fixais dans les yeux. Et là, avec une impulsion folle, dans un désir exquis et électrique, irrésistiblement, j'ai vu ma main se diriger vers la bosse qui poussait dans son caleçon, à moitié cachée par l'obscurité, et je l'ai caressé. Louis a reculé.
    
    « Qu'est-ce que tu fais? » Il m'a demandé l'air sévère.
    
    Maintenant c'était moi qui étais à genoux ... métaphoriquement parlant.
    
    « Pardon... J'ai eu une mauvaise idée. Je suis très désolée. Je... je vais partir maintenant ; je vais quitter ton appartement. »
    
    La bouche de Louis s'est refermée d'un coup. Il m'a évaluée d'un œil critique, comme s'il choisissait ses mots avec prudence. Je m'attendais à un reproche, et je ne pensais alors plus qu'à fuir le plus vite possible, le plus loin possible.
    
    Et là, d'un coup, il a posé ses mains sur mes joues et s'est mis à m'embrasser.
    
    ~*~
    
    Il m'embrassait avec une intensité fiévreuse, comme poussé par un besoin vital, un désir primitif.
    
    Je m'étirais pour saisir sa verge. Et quel braquemard : long, épais, avec de grosses veines pulsantes, immédiatement au garde-à-vous. En admirant la grande délectation, je le frottais avec de longues caresses. Bientôt, je sentais ...