Mari trop jaloux
Datte: 15/05/2021,
Catégories:
fh,
fhh,
cocus,
vacances,
jalousie,
Oral
69,
préservati,
pénétratio,
Partouze / Groupe
fsodo,
confession,
Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe
... justement pendant un mariage, nous avions baisé comme des malades dans notre chambre, quittant la cérémonie, puis le repas. J’avais été excité par cette couleur. Un besoin irrépressible.
— Très bien. Robert aime bien aussi.
Un ange passe ! Et puis une porte s’ouvre juste à notre niveau. Une femme de ménage en sort. Elle nous salue d’un sourire. J’ai le temps de voir qu’elle sort d’une sorte de débarras rempli d’étagères avec du linge empilé. La femme continue son chemin et disparaît. Je regarde mon ex. Elle me regarde. A-t-elle la même idée que moi ? Je ne sais pas, mais qu’est-ce que je risque ? Je lui prends la main et de l’autre pousse la porte.
— Franck, que fais-tu ?
— C’est la faute de ta robe !
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— Vous l’avez fait ? Vous avez couché avec votre ex le jour de son mariage ? C’est dingue. Je comprends la vengeance.
— Oui, nous l’avons fait. Et même, nous le refaisons de temps en temps. Je suis devenu un amant. C’est jouissif à tous les points de vue.
— C’est dingue.
— Oui, dis-je alors que mes pensées reviennent à ce jour-là.
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Je revois la scène. Anne que je pousse contre une étagère et dont la seule remarque est que je fasse attention à sa robe. Anne en appui, la robe remontée jusqu’aux épaules. La découverte de ses jambes gainées de soie avec un porte-jarretelles du plus bel effet. D’une culotte symbolique qu’il me suffit de tirer vers le bas pour la rendre disponible. Cette ...
... croupe que je connais pourtant, mais qui semble différente. Provocatrice, salope, offerte cachant ses turpitudes sous une blancheur immaculée.
Ma verge que j’extirpe dure comme un gourdin comme si elle était impatiente de goûter aux délices de baiser une femme mariée, à peine mariée.
Le « Ahhhhhhhhh » de la jeune mariée alors que ma queue entre sans délicatesse, faisant trembler l’étagère. La vision de cette croupe qui se tortille de façon obscène, parfaitement chevillée par ma verge.
Des « ahhhh »… des « oui »… des « encore »… des « c’est bon »… que j’avais rarement entendus sortir de la bouche de mon ex-femme, mais dont ma maîtresse m’abreuvait.
De mon pouce que j’ai glissé dans son cul. De mon pouce que je faisais tourner tout en la bourrant avec violence. De ma bite, grasse, humide de la liqueur de la femelle qui remplace mon pouce et qui encule la pute, baisée entre deux portes.
Quel pied de savoir que son mari l’attend, déjà cocu à peine marié. Que ce soit par l’ex est d’autant plus jouissif.
Lorsque je me libère dans son cul, je suis au paradis. Voir ma semence couler hors de son trou encore ouvert est un délice. Me servir de sa petite culotte pour l’essuyer et la glisser dans ma poche en disant « petit souvenir ». Savoir qu’Anne retourne à la noce, cul nu, souillée par ma semence me fait bander à chaque fois.
Mais recevoir un appel d’elle quelques semaines après pour, sous un prétexte bidon, me rencontrer donne un goût particulier à nos baises. Il est ...