1. Mari trop jaloux


    Datte: 15/05/2021, Catégories: fh, fhh, cocus, vacances, jalousie, Oral 69, préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... de son pantalon, un peu comme ces hommes qui se dénudent devant des spectatrices. Le torse est vite à nu. Le pantalon au sol.
    
    Ils sont face à face. Maryse semble subjuguée. Sa peau est humide et pourtant elle n’a devant elle pas plus qu’un homme en maillot de bain comme ils sont des milliers sur une plage. C’est vrai, mais ici celui qui est derrière elle ne cesse de la caresser. Et puis Éric baisse son slip. Je sens bien que la tête de Maryse aide le regard. Je sais ce qu’elle va voir. Moi j’ai déjà eu l’occasion l’année dernière, mais dans la pénombre d’une chambre, alors qu’ici le soleil inonde le salon.
    
    Elle est là. Encore au repos, déjà blasée malgré sa jeunesse et d’avoir été si souvent proposée. Longue tige bien en équilibre sur les deux bourses. Combien de femmes, adolescentes, femmes mûres, femmes adultères, épouses en goguette ont déjà eu ce reflet de surprise dans le regard. Certaines n’ont découvert la puissance de l’engin que déjà possédées. D’autres, plus attentives au plaisir de l’homme l’ont vu grandir par leurs caresses, leurs baisers, leurs léchages.
    
    Éric a juste à reculer d’un pas pour trouver le repos du canapé. Un pas, suivi d’un second amène la femme que je n’ai même pas la peine de guider tellement l’appel est évident. Il est assis. Elle est debout face à lui. Leurs mains cherchent l’autre. Moi, je reste un peu en retrait, attentif et curieux. Voyeur pour la première fois d’une réalité que j’espère dépasser la froideur des vidéos ...
    ... pornos.
    
    Elle commence par ses épaules, Lui, par les hanches. Le contact est établi. C’est d’abord un ballet de gestes furtifs, caressants dont je vois bien que chacun apprécie. Et puis, passant le torse et le ventre plat de l’homme elle commence par se baisser pour atteindre plus bas.
    
    Est-ce elle ou lui qui la guident avec les mains, toujours est-il que voici Maryse à genoux devant lui. Maintenant les mains sont à portée. Elles se posent sur les deux cuisses qui prennent le geste pour une invitation à s’ouvrir. Il est bien là, peut-être un peu moins flasque, peut-être un peu plus gros.
    
    C’est dingue, mais j’aimerais presque être à la place de la femme devant cette verge qu’on soupçonne pleine de ressource. Ce n’est pas être gay que de la trouver belle. Poser la main comme le fait Maryse, flatter la tige de la paume, envelopper les bourses. Et puis se saisir par deux doigts précautionneux de la verge que ces simples attouchements ont fait durcir. La maintenir verticale. Se pencher. Déposer un baiser sur le gland rose. Baiser par des lèvres qui s’ouvrent et glissent pour s’arrêter au sillon.
    
    C’est con, ce réflexe que nous avons d’ouvrir la bouche lorsqu’on donne la cuillère à un enfant. En ce moment je me surprends à faire de même. Je dois avoir l’ai abruti la bouche ouverte, la langue prête à lécher.
    
    Mais c’est Maryse qui le fait. Nul ne doute qu’elle lèche le gland, mais déjà elle descend. De profil je peux bien voir le mandrin perdre de sa grandeur et imaginer ce que la ...
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