1. Mari trop jaloux


    Datte: 15/05/2021, Catégories: fh, fhh, cocus, vacances, jalousie, Oral 69, préservati, pénétratio, Partouze / Groupe fsodo, confession, Auteur: ViolaFleur, Source: Revebebe

    ... faut pour me vider ainsi.
    
    Je ne sais pas si Maryse avait eu cette pensée en voyant cet homme dans mon salon, mais aux aveux d’Éric elle ne peut pas chasser cette idée d’un geste. D’ailleurs son attitude change. Elle nous regarde l’un après l’autre sans rien dire.
    
    L’idée m’est venue lorsqu’elle m’a parlé de son expérience d’escort. Ce genre de femme a certainement connu des séances très fortes et un plan à trois ne doit pas lui faire peur.
    
    Pourtant, c’est elle qui rompt le silence.
    
    — Si je comprends bien, vous avez pensé que…
    
    Je m’approche d’elle. Éric est à quelques pas, face à elle. Moi je passe derrière elle et lui susurre :
    
    — Oui. Je me suis dit que c’était l’occasion.
    — L’occasion ?
    
    Elle répète alors que je l’embrasse dans le cou, recommençant comme hier cette douce approche de baisers délicats, mais qui la troublent.
    
    — Oui…dis-je en continuant.
    
    Elle ne dit plus rien, mais sa tête cherche un appui sur la mienne.
    
    — Deux hommes… Tu as déjà essayé ? lui susurré-je dans l’oreille.
    — Non…
    — Alors…
    
    Ma main trouve la fermeture éclair de la robe. Mon visage contre son cou, je ressens comme elle, chaque dent qui se détache de l’autre alors que la navette les libère. Le dos apparaît, bientôt je touche la butée au niveau des reins.
    
    Éric a fait quelques pas. Il est si près maintenant qu’il pourrait la toucher, mais il ne bouge pas. Je lui ai bien conseillé de ne pas brusquer les choses. Nous avons tout notre temps, des heures devant nous alors ...
    ... qu’un téléphone et son GPS fournissent un alibi en béton à cette femme que je sens frémir. Dans le miroir, je vois qu’elle regarde l’homme qui lui fait face.
    
    J’adore repousser doucement les fines bretelles de la robe afin qu’elle passe la douceur de l’épaule et chute le long de bras complices, tendus le long du corps.
    
    La coquine, elle ne porte rien dessous. J’en retrouve la nudité, le dos parfait, la chute de reins, les fesses arrondies et fermes. Éric lui est aux premières loges. Je vois son regard explorer. Explorer cette poitrine imposante, lobes arrondis, aréoles sombres, tétons ardents. Découvrir ce ventre plat qui laisse deviner la fente des cuisses et le jardin secret. Il est trop prêt pour qu’il puisse voir ce buisson aérien qui cache la grotte.
    
    Je la caresse. Je ne peux empêcher mes mains de retrouver la douceur de la peau, mais aussi afficher cette possession qui fait de moi un amant candauliste, un pervers qui partage, un mac qui propose sa michetonneuse.
    
    Ses seins sont des melons que j’enveloppe. Ses tétons des pointes que je martyrise. Ses hanches des reposoirs. Son « V » secret un lieu que j’explore et qui lui fait fléchir les jambes pour mieux s’offrir.
    
    Et quoi de plus excitant pour cet homme qui de voir une main passer entre les cuisses pour venir se plaquer sur la vulve et provoquer cette flexion avec un souffle qui en dit long.
    
    Éric réagit. Il se déshabille devant la femelle offerte. C’est étonnant de voir ce sportif descendre les bretelles ...
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