1. Béatrice s'envoie en l'air


    Datte: 12/05/2018, Catégories: fh, extracon, inconnu, avion, toilettes, fsodo, Auteur: Claxton, Source: Revebebe

    ... Il s’en saisit comme si c’était les rênes d’une jument et se propulsa encore plus loin dans le cul. Béatrice se mit à crier :
    
    — Ha ! Ho ! C’est trop fort ! Tu me brises, tu me fends en deux ! Ho ! Ho !
    
    C’était trop ! Dans un râle bestial, Jean-Marc sortit sa queue du fourreau brûlant et la logea entre les deux globes charnus. Il se mit à éjaculer à gros bouillons sur le dos de la jeune femme, la couvrant de sperme jusqu’aux cheveux longs et bouclés qui cascadaient entre les omoplates. Béatrice hoquetait :
    
    — Ho, mon Dieu ! Ho, mon Dieu !
    — Ha, éructa son amant, prends ça ma belle pute, je te repeins de foutre.
    
    Jean-Marc frotta sa queue sur les fesses de la jeune femme et tomba assis sur la lunette des toilettes, repu. Béatrice, quant à elle, affalée sur l’évier, recouvrait lentement ses esprits. Jamais elle n’avait été enculée, ni même baisée avec autant de violence ! Grégoire était un amant attentionné, pas comme tous ses autres copains auparavant, trop impressionnés qu’ils étaient par la beauté stupéfiante de la jeune femme. Retrouvant peu à peu son souffle, la jeune femme se rendait compte qu’elle avait pris un plaisir qu’elle n’avait jamais connu auparavant avec cet amant de passage ! Mais par contre, quel goujat ! Il lui avait joui dessus. On ne lui avait jamais fait ça, à Béatrice ! Et jamais de telles quantités ! La jeune femme se tourna vers Jean-Marc, alors que ce dernier remontait son pantalon.
    
    — Vous avez vu ce que vous m’avez mis ? se plaignit-elle, ...
    ... se tournant à moitié pour montrer son dos nu et sa robe maculée de foutre blanchâtre.
    — Oui, tu as raison, répondit Jean-Marc en souriant. Finalement, j’aurais dû gicler sur tes si beaux nichons, mais c’est de ta faute après tout, tu m’as tellement excité que je n’ai pas pu me retenir.
    — Aidez-moi à m’essuyer, au lieu de raconter des bêtises.
    
    Béatrice attrapa des serviettes en papier et les donna à son amant. Celui-ci essuya le dos du mieux qu’il put tandis qu’elle tournait sa robe sur sa taille et essuyait les traces sur le tissu.
    
    — Je n’aurais jamais cru qu’un homme puisse éjaculer autant de sperme ! s’exclama-t-elle.
    — Tu m’as vidé, ma belle, je dois avoir les couilles lyophilisées ! répondit-il.
    
    La jeune femme éclata de rire. À l’admirer ainsi dépoitraillée, si belle, Jean-Marc se remit à bander.
    
    — Béatrice, il faut que je t’avoue que tu es la plus belle femme que j’aie jamais rencontrée. Tu es absolument divine et j’ai encore envie de ton corps fabuleux.
    
    La jeune leva les yeux, surprise, et les baissa vers la bosse qui déformait le pantalon.
    
    — Oui, je vois. Quelle endurance !
    
    Elle se laissa enlacer et les deux amants s’embrassèrent fougueusement. Jean-Marc caressa les seins de la jeune femme qui ponctua ses caresses de petits gémissements approbateurs. Le salaud bandait dur à nouveau et Béatrice l’aida à sortir son pénis de sa braguette. Elle posa le pied sur la lunette des toilettes, ouvrant sa chatte au passage du gland turgescent. Jean-Marc se ...
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