1. Béatrice s'envoie en l'air


    Datte: 12/05/2018, Catégories: fh, extracon, inconnu, avion, toilettes, fsodo, Auteur: Claxton, Source: Revebebe

    ... se tourna vers lui et s’aperçut qu’il s’était effondré contre la vitre du hublot.
    
    — Ben ça alors ! Grégoire !
    — Ne le réveillez pas, Béatrice, suggéra son voisin. Au moins, pendant qu’il dort, il n’est pas angoissé. Et puis… Pendant ce temps, je peux profiter de votre compagnie, continua-t-il en posant sa main gauche sur le genou droit, nu, de la jeune femme.
    
    Celle-ci tourna la tête vers lui, sans bouger son genou. L’audace de son voisin l’avait surprise et flattée. Elle le regarda attentivement. La quarantaine, brun, cheveux courts bien peignés, des yeux noirs envoûtants, et un physique solide sous le léger costume beige. Elle regarda ensuite la main posée sur son genou.
    
    — Mon fiancé est d’un naturel plutôt jaloux, vous savez, Jean-Marc…
    — Pour l’heure, il me paraît bien inoffensif, répondit l’homme tout en commençant à masser le genou droit de Béatrice.
    
    Sa main avait glissé un peu plus haut et retroussait le bas de la robe blanche sur la cuisse de la jeune femme. Sa peau était douce, lisse. Béatrice se surprit à apprécier cette caresse, et la présence de son fiancé ajoutait du piquant à la situation. La main remontait lentement, entraînant le vêtement avec elle. Bientôt, Béatrice se retrouva troussée jusqu’en haut des cuisses. L’homme cessa ses caresses et, se penchant en avant, ôta sa veste.
    
    — Que faites-vous ? questionna Béatrice.
    — Je ne voudrais pas que vous offriez un spectacle impudique au reste des passagers, répondit-il en posant sa veste sur ...
    ... les jambes de la jeune femme. Voilà, soulevez donc votre jupe et ôtez votre culotte, vous serez plus à l’aise…
    — Vous plaisantez ! s’offusqua Béatrice.
    — Allons, laissez-vous faire. Je parie que vous en mourez d’envie. Ça ne vous excite pas de vous faire tripoter à côté de votre fiancé ?
    
    Béatrice sourit intérieurement. Ce vicieux avait vu juste ! La perspective de se laisser caresser si près de son fiancé l’excitait prodigieusement. Sans répondre, elle passa ses mains sous elle et fit glisser son string sur ses fesses. Penchée en avant, elle souleva ses pieds l’un après l’autre pour faire passer sa culotte. Puis elle se rassit en étalant sa jupe autour d’elle, posant ses fesses nues sur le tissu du fauteuil. L’inconnu se pencha à son oreille :
    
    — Donnez-moi votre culotte, je vous la rendrai plus tard.
    
    Béatrice obéit et lui tendit son petit string en dentelle roulé en boule. L’homme le porta à ses narines et le huma :
    
    — Mmm… Quelle délicieuse odeur, dit-il avant de le fourrer dans la poche droite de son pantalon.
    
    Il réajusta la veste sur les jambes de la jeune femme et glissant sa main dessous, la posa de nouveau sur son genou. Cette fois, elle n’y resta pas longtemps et, retroussant la robe, elle gagna l’intérieur de la cuisse droite de Béatrice. La caresse était douce, la main se faisait légère, faisant des allers et retours le long de la cuisse, puis les doigts effleurèrent la peau en de petits attouchements rapides… Béatrice goûtait l’instant. Puis la main ...
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