Béatrice s'envoie en l'air - Histoires de Sexe

Béatrice s'envoie en l'air

... s’enhardit et du bout des doigts, le voisin se mit à caresser le sexe de la jeune voyageuse. Il sentit les lèvres nues, fines, et d’un doigt les écarta, pénétrant lentement le vagin déjà humide. La belle se mit à gémir. Glissant la main gauche sous la veste, elle saisit le poignet de son voisin et l’appuya plus fort contre elle, faisant pénétrer l’index plus loin dans sa chatte. Un deuxième doigt rejoignit le premier et pénétra le fourreau humide. Après un rapide coup d’œil à son fiancé, Béatrice ferma les yeux et gémit au rythme de la pénétration. Elle avait terriblement envie de se caresser les seins. L’homme, tout en continuant à la doigter, se pencha vers elle :

— Tu aimes ce que je te fais ?
— Hum… oui, j’adore, répondit Béatrice dans un souffle.
— J’ai envie de te baiser.
— Hum… oui, j’ai envie aussi, avoua-t-elle en écartant les cuisses autant qu’elle le pouvait, s’offrant aux trois doigts qui s’enfonçaient en elle, les trempant de ses sécrétions intimes.

Mais l’homme dégagea sa main et se mit à lécher ses doigts enduits de mouille.

— J’adore ton odeur de salope, confia-t-il. Lève-toi !

Il prit sa veste et se leva. Béatrice n’eut que le temps de rabattre sa robe sur ses cuisses afin de masquer sa chatte béante, luisante de mouille. Jetant un dernier coup d’œil à Grégoire endormi, elle suivit Jean-Marc jusqu’à l’arrière de l’appareil. Il s’engouffra dans les toilettes et l’attira contre lui avant de fermer la porte. Il se colla contre elle, les mains ...

... plaquées sur ses seins. Béatrice se mit à gémir :

— Oui, caresse-moi, vite ! implora-t-elle.

Jean-Marc tira les bretelles vers le bas, faisant jaillir une poitrine opulente. Il se pencha et se mit à gober les tétons, l’un après l’autre, les mordillant entre ses dents. Béatrice ne resta pas inactive et baissa la braguette, libérant un gros pénis déjà excité. Elle se libéra de l’étreinte de son amant et s’assit sur la cuvette des toilettes. Elle prit la queue de Jean-Marc dans sa bouche et se mit à le pomper à toute vitesse.

— Woua, quelle goulue, tu suces comme une pute ! s’exclama-t-il en posant les mains dans les cheveux bouclés de la blonde.

Béatrice releva la tête, et tout en le branlant, lui dit d’un air polisson :

— Oui, je suis ta pute, tu vas bien me baiser.

Elle se caressa les joues avec la grosse queue bandée, les yeux levés vers son amant de passage, puis reprit la fellation, que Jean-Marc accompagna de petits coups de reins. Ce dernier, bientôt gagné par la jouissance, attrapa la jeune femme par les épaules et la fit se relever et se retourner contre l’évier. Béatrice posa ses mains sur le miroir qui lui faisait face et cambra ses hanches. Elle sentit bientôt ses fesses écartées impérieusement par Jean-Marc.

— Eh, s’écria-t-elle en tournant la tête, tu veux me prendre par le cul ?
— Tu as deviné, ma belle petite pute, je vais te fourrer le cul, tu vas la sentir passer, crois-moi !
— Oui, j’adore ça, vas-y à fond ! supplia la jeune femme.

Elle ...