1. Histoires de cocus (extra)ordinaires (5)


    Datte: 13/05/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    ... d’Idris qui s’agitait au-dessus. Pendant ce temps, Basil me fendait l’anus.
    
    Puis nous inversâmes. Adèle vint à ma place et vice versa.
    
    — Allez mes louloutes, on s’approche ? J’vais jouir ! Partage de sperme ?
    
    La question était pour la forme. En se retirant du cul d’Adèle, Basil continua de se branler vigoureusement pendant que la fille se dégageait et se mettait à genoux pour l’offrande promise. Je me levai et Idris se mit debout à côté de son cousin. J’eus à peine le temps de me coller à la fille que le sperme lui tombait déjà dans la bouche. Il fallut attendre un peu celui d’Idris, ce que nous fîmes en nous embrassant franchement. Il y en avait moins, bien sûr que le première fois, mais nous n’en perdîmes pas une goutte.
    
    Je rentrai chez moi très en retard.
    
    — Putain, c’est à c’t’heure-là que tu rentres ? J’ai la dalle moi ! T’étais fourrée où ?
    
    — La formulation n’est pas exacte !
    
    — Quoi, quoi, qu’est-ce que tu racontes ?
    
    — Il ne faut pas dire "t’étais "fourrée où" mais "t’étais fourrée par qui" ? Encore qu’à bien y réfléchir la première formule peut se comprendre.
    
    — C’est quoi ton baratin là ?
    
    — J’étais fourrée par mon amant et dans ton les trous.
    
    Il y eut un grand moment de silence. Sa tronche était pathétique. Il ne quitta pas le canapé ni la bière et n’éteignit même pas la télé.
    
    — Quoi ? Quoi ? Tu dis quoi là ? C’est quoi ce délire, j’comprends rien moi !
    
    — Je dis que j’étais en train de m’éclater avec un mec et que nous allons ...
    ... divorcer.
    
    — N’importe quoi !
    
    — C’est comme ça. J’ai un amant et je ne veux plus vivre avec toi.
    
    Alors il sembla réaliser et explosa. Pendant un quart d’heure, j’entendis un flot d’insultes, pute, salope, feignasse, traînée, etc. Ça me glissait dessus comme l’eau sur les plumes d’un canard. Quand il en eut justement marre et qu’il conclut son propos par un "casse-toi sale pute", je répondis :
    
    — Tu vois je te laissais encore une chance. Si tu m’avais dit au moins que tu m’aimais que tu tiens à moi, peut-être que j’aurais eu la tentation d’y croire, mais non, tu t’es plaint, tu t’es lamenté sur ta petite personne... t’es désolé parce que t’as plus de boniche. Tu vas être obligé de faire ton ménage tout seul, ta bouffe, ta lessive, les courses... et tu vas même être obligé de te pignoler une fois par semaine... remarque, tu y prendras peut-être plus de plaisir.
    
    — Ça c’est sûr ! Eructa-t-il.
    
    — Ne te tracasse pas, je ne perds pas non plus au change.
    
    — De toute façon j’vais aller lui casser la gueule à ton bâtard là.
    
    — Si tu veux, j’vais chez lui là. Mais je te conseille de ne pas venir seul.
    
    Je fis mes valises et me cassai.
    
    Je m’établis chez Idris et, tout en divorçant, je me mis en colocation avec les deux garçons dans un appart plus grand.
    
    Quelques mois après, en faisant une pause dans un dimanche après-midi où nous venions de faire l’amour tous les trois comme des bêtes, Basil me demanda.
    
    — T’as jamais voulu d’enfants ?
    
    — Si, mais l’autre con ...