1. Histoires de cocus (extra)ordinaires (5)


    Datte: 13/05/2021, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: yannlakeu, Source: Xstory

    — Tiens, c’est Basil.
    
    — Il n’a pas l’air d’être seul.
    
    — En effet.
    
    Au bout de quelques minutes, après un moment de silence, des gémissements nous parvinrent.
    
    — En effet, il n’est pas seul ! Et qu’est-ce qu’il lui met !
    
    — Prends-en de la graine !
    
    — Hmmm... viens là que je te mange la chatte. Tu vas voir, j’vais t’en foutre de la graine moi, plein de petites graines...
    
    Et nous nous livrâmes l’un à l’autre, excités par ce que nous entendions derrière la cloison.
    
    Assez rapidement, je me mis moi-même à exprimer toute ma satisfaction tandis que de sa grosse voix, Idris m’encourageait.
    
    J’étais à cheval sur lui, dansant sur le pieu fiché en moi quand la porte s’ouvrit sans qu’on eût frappé.
    
    Il était nu, magnifique, en érection... C’est ainsi que je fis la connaissance de Basil.
    
    — Salut ! On s’amuse bien ici.
    
    J’avoue que j’étais très gênée.
    
    — On s’amuse bien à côté aussi cousin, reprit Idris en éclatant de rire. C’est votre boxon qui nous a chauffés.
    
    — On échange ?
    
    — Quoi ?
    
    — Tu me prêtes ta meuf, je te prête la mienne ?
    
    — Ouais cool man... Oh euh, si tu es d’accord hein, évidemment. Sens-toi libre. Me dit-il en se ravisant aussitôt.
    
    Toujours fixée sur la queue solidement dressée en moi, je demandai, tout en fixant attentivement l’énorme queue de Basil.
    
    — Vous faites souvent ça ?
    
    — Jamais, répondirent-ils en chœur et en riant de plus belle.
    
    Je ne compris pas ce rire. Etait-ce vrai, ou pas ? Avaient-ils manigancé quelque ...
    ... chose ? Quoi qu’il en soit, le type était si beau et son sexe si gros, que je dis de l’air le plus enjoué possible.
    
    — Oui, oui, super. Venez.
    
    La fille qui était restée en arrière en attendant la réponse, parut. C’était une superbe jeune nana d’à peine vingt ans, rousse, la peau très pâle et des seins énormes.
    
    — A quatre pattes les filles !
    
    — Doucement Basil avec ton gros nœud, elle est toute serrée.
    
    — C’est la femme dont tu m’as parlé ?
    
    — Ouais.
    
    — Putain, tu m’as pas menti cousin ! T’as le flair pour les gonzesses !
    
    Nous fîmes les présentations puis il m’enfila et, même en douceur, j’eus du mal à supporter le mandrin. J’accompagnais l’intromission par un "aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhh" tonitruant.
    
    — Putain, elle est pas seulement canon, elle est bonne. Ça c’est de la chatte man !
    
    Et ils se mirent à nous déglinguer. On n’entendait plus que les chairs qui claquaient, nos cris de jouissance et leurs commentaires salaces ("tu la sens ma bonne queue, etc...").
    
    Quant à moi, j’étais aux anges. Je ne croyais pas qu’un tel plaisir pût exister.
    
    — Dis-donc, j’la prendrais bien dans le cul ta copine, dis Idris.
    
    — Pareil pour moi !
    
    — Vous êtes prêtes les filles ?
    
    Nous dûmes convenir l’une et l’autre que c’était nouveau pour nous.
    
    — OK, on va se faire une petite toilette intime et on s’y met. Qui y va d’abord ?
    
    Après une courte réflexion, je me décidai, me disant que, pendant que l’autre fille serait en train de se préparer, on me forcerait l’anus ...
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