1. Sophia d'Antipolis


    Datte: 13/05/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail amour, revede, Oral Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... luisant. C’est alors que je lève le nez pour admirer le spectacle de son sexe entrouvert, surmonté d’une fine bande de poils pubiens, telle une flèche qui m’indique la marche à suivre…
    
    Avec une évidente satisfaction, je constate qu’elle mouille déjà, et capturé par ses effluves troublantes, je m’empresse d’aller honorer de ma langue une si jolie fente ! À peine ai-je commencé à goûter à son intimité tout humide qu’elle soupire bruyamment d’aise ! Sadiquement, je prends mon temps, je glisse, je fouille, furetant, creusant ci et là. Elle se cabre, elle gémit, elle adore.
    
    Moi aussi, j’adore le goût de sa cyprine et je ne me gêne pas pour la boire, lapant en elle du creux de ma langue sa liqueur blanche.
    
    Puis, sans prévenir, j’attaque son petit bouton rose qui me nargue depuis tout à l’heure ! Elle pousse un petit cri rauque qui m’excite plus encore ! Comme secouée par des décharges électriques, son corps, ses membres tressaillent, son ventre palpite, sa fente se détrempe plus encore, ruisselante, telle une source.
    
    Assoiffé, je bois tout, détrempant son clitoris turgescent et ultra-sensible. À chaque coup de langue que je donne vicieusement, elle se cabre, hululant des cris étranges, comme brisés, cassés.
    
    Soudain, elle repousse ma tête, m’empêchant de continuer à la torturer ainsi :
    
    — Viens !
    
    Je relève la tête, elle répète, impérative :
    
    — Viens ! Viens vite en moi ! Viens !
    
    Je me glisse entre ses jambes qu’elle écarte sans réserve, je me frotte un peu ...
    ... sur elle, posant mon sexe bien dressé sur son pubis, sur son ticket de métro, puis, lentement, je descends le long de ce fin tapis de poils pubiens.
    
    — Viens ! Viens vite !
    
    J’ai décidé d’y aller doucement, pour mieux faire durer le plaisir… Mon gland glisse à présent sur sa petite fourrure sombre, puis il s’introduit délicatement dans sa fente humide. Elle remue du bassin pour que je plonge en elle, mais je continue ma descente…
    
    — Viens ! Me fais pas languir comme ça !
    — Taratata, tu subiras…
    — Tu es vraiment un gros salaud dans ton genre !
    — C’est pour mieux te faire jouir mon enfant !
    
    Elle tente de se rapprocher de ma verge qui s’enfonce entre ses lèvres distendues, mais je réussis à ne pas me faire happer. Elle gronde :
    
    — Même au pieu, tu es un gros salaud !
    — Tu te répètes, mon enfant !
    
    Elle s’agite, ses ongles entrent dans ma peau :
    
    — Tu vas finir par me baiser, oui ou merde ?
    — Tu es vraiment malpolie, mon enfant !
    
    Ses ongles strient mes chairs, la douleur est à la fois aigue et excitante.
    
    — Viens ! Viens ! Mais tu vas venir, bordel !
    — Non, non, non… profite…
    — Salaud, salaud, salaud ! Pourquoi tu fais ça ?
    — C’est pour mieux te baiser, mon enfant !
    
    Et qu’un puissant coup de rein, j’entre férocement en elle, elle crie, des secousses l’agitent sans cesse, tandis que je la pistonne brutalement, implacablement. Elle me plaque sur elle, me labourant le dos, une lancinante litanie sur ses lèvres.
    
    Je ne comprends pas bien ce qu’elle ...