1. Sophia d'Antipolis


    Datte: 13/05/2021, Catégories: fh, Collègues / Travail amour, revede, Oral Auteur: Patrik, Source: Revebebe

    ... comme on dit au cinéma…
    
    Elle et moi, hier, le restau, la balade, la mer… Elle face à moi, d’aspect si fragile sous la lune, les faibles vagues…
    
    Elle se calme un peu, lève la tête vers moi et questionne :
    
    — On fait quoi ?
    — Advienne ce que pourra…
    — Pardon ?
    
    Ce furent ses derniers mots avant que je capture ses lèvres. Au diable le futur, vivons au présent. Peut-être que cette femme me fera encore plus mal que toutes les autres. Tant pis ! Au moins, j’aurais vécu quelque chose avec elle. Même pour quelques jours, mais avec la sensation que ces jours-là compteront beaucoup plus que des années !
    
    Ce n’est pas la première fois que j’embrasse une femme, il y a longtemps que j’ai fini d’entretenir une comptabilité précise à ce sujet, mais c’est bien la première fois que j’éprouve une telle sensation !
    
    --oOo-—
    
    Vous savez ce que c’est que de désirer une femme plus que tout ? De vouloir la posséder, tout lui prendre ? Eh bien, pour moi, c’est le cas !
    
    Il y a tellement de choses à prendre chez Sophia que je ne sais par où commencer ! Ses lèvres sucrées, son cou tout doux ? Ses seins frémissants, ses tétons érigés ? Son ventre tout câlin, ses hanches si courbes ? Ses fesses dodues, son cul mignon à croquer ? Son pubis délicat, ses lèvres suaves ?
    
    Peu importe, je veux tout, je mettrai le temps qu’il faudra mais tout sera à moi, possessivement, absolument !
    
    — Pas ici, quand même ! gémit-elle.
    
    Comment ça, pas ici ? C’est alors que je réalise que nous ...
    ... sommes sur un boulevard en bordure de mer, elle plaquée contre un réverbère et moi qui mets mes mains et mes lèvres partout sur son corps frémissant.
    
    — Peu importe ! dis-je imperturbable, sans ôter mes mains de ses courbes, ni mes lèvres du creux de son cou si tendre.
    
    Soudain, pris d’une inspiration subite, je la soulève sans effort dans mes bras telle une enfant, puis je dirige posément avec mon précieux fardeau vers la plage.
    
    — Vous… vous faites quoi ?
    — Je fais ce que j’aurais dû faire dès le premier jour !
    
    Et sans lui laisser le temps de répondre, je l’embrasse, bien décidé à me laisser embraser complètement et me brûler les ailes, peu importera la suite. Carpe diem, c’est bien ce que j’ai envie de faire, profiter de l’instant présent, profiter d’elle, tout lui prendre, tout lui donner !
    
    Je ne sais pas combien de temps s’écoule, je ne connais rien d’autre que la chaleur de ses lèvres, leur douceur, leur goût sucré !
    
    Je me contrefiche du sable qui voltige sur nos visages, dans nos cheveux, qui s’introduit dans nos vêtements ! Rien ne m’importe plus que Sophia.
    
    Je n’y tiens plus ! Après avoir ôté, je ne sais comment, les boutons de son chemisier, je plonge, nez en premier dans son décolleté, ma bouche désirant à tout prix goûter ces fruits ronds et sucrés, croquer dedans sans réserve ! Elle gémit, tressaille un peu, mais me laisse faire, ce qui m’enhardit un peu plus.
    
    — N… non, pas ici, quand même ! proteste-t-elle faiblement.
    — Et pourquoi pas ...
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