1. Rambouillet 19 ans (1)


    Datte: 12/05/2021, Catégories: Trash, Auteur: emmanuellez, Source: Xstory

    ... mon sac à main que j’ai oublié dans la voiture. Le vieux m’accompagne, suivi par toute la famille.
    
    Arrivée à la voiture, je vois le sac sur le siège passager, là où je l’avais laissé. Je suis tellement pressée de le récupérer que je me penche directement par-dessus la portière, découvrant mon joli petit cul, mon slip ne couvrant pas grand-chose.
    
    L’excitation des mâles et de la petite femelle monte d’un cran. Ils sont à bout mais n’osent pas encore intervenir. C’est le mâle dominant, le vieux père qui déclenchera la furie et tous le savent. Je comprends l’effet que je leur ai fait involontairement. J’ai une idée un peu perverse mais ça me plaît de jouer avec cette famille de dégénérés. Et puis à côté de ma voiture, je me sens un peu plus en sécurité.
    
    J’explique alors au garagiste la restauration que j’avais envisagée. J’aimerais un devis. J’ouvre le capot, demande d’inspecter le moteur avec lui, pour ne pas avoir de surprise.
    
    Nous nous penchons tous deux de chaque côté du véhicule. J’ai pris soin de me placer dos aux enfants. Ils ont à nouveau une magnifique vue sur mon petit cul. Je m’amuse à le remuer, à écarter mes jambes... De l’autre côté, le garagiste a droit à un autre spectacle dont il ne perd pas une miette.
    
    Je me penche pour ouvrir au maximum le col bien large de mon t-shirt. Le garagiste peut maintenant admirer mes jolies mamelles de bourgeoise. Je remue le buste pour les faire s’agiter. L’effet est immédiat, il bande comme un âne et n’arrive plus à ...
    ... parler.
    
    Mon sexe et mes seins gonflent également. Je suis surprise et électrisée par mon audace, par la scène. Ma chatte suinte. J’ai envie de me caresser, de me toucher. Mon esprit est embrumé, je n’arrive plus à raisonner, je n’arrive plus à ME raisonner. Mon cerveau primaire est en train de prendre le dessus sur mon cortex !
    
    Et le désir monte, monte, mooooonte !!! Je ne réagis plus que par réflexe. Toute mon éducation, mes bonnes manières bourgeoises sont en train de s’envoler et ça m’affole. J’aimerais que ces monstres me prennent là, tout de suite sur le capot de la voiture comme une vulgaire pute de l’est démontée par un routier dans son camion.
    
    L’aboiement des deux mâtins de Naples me sort de ma torpeur. Je me reprends, je me ressaisis et finalement je me relève. Ça y est, mon éducation reprend le dessus. Je suis à nouveau en territoire connu : Ouf ! Ce n’est pas passé très loin ! Je reprends mon air hautain. Et je demande au garagiste :
    
    - Pourriez-vous me faire un devis et me dire quand vous pourriez prendre en charge mon véhicule ? J’ai d’ailleurs peur qu’il ne tombe en panne, je préférerais que vous veniez l’enlever directement dans mon parking. C’est possible ? Voici mon numéro de téléphone (avec un frémissement dans le dos, non en plein ventre), appelez-moi dès que vous pouvez.
    
    Dehors, la pluie s’est arrêtée et il est temps de rentrer. La nuit commence à tomber. Mon fiancé n’est pas là pour la semaine, je suis donc tranquille ce soir mais je préfère ...
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