1. Rambouillet 19 ans (1)


    Datte: 12/05/2021, Catégories: Trash, Auteur: emmanuellez, Source: Xstory

    ... je recommence mon petit manège mais cette fois sous la douche et avec du savon. Je caresse à nouveau mes seins, et tout mon corps. Cette fois, je ne vais pas jusqu’à ma jolie chatte.
    
    Une fois séchée, j’examine les vêtements qu’elle m’a apportés : une petite jupette d’écolière plissée et un t-shirt à moitié transparent ! Je n’ai pas trop le choix alors je les mets. Bizarrement, ils me vont assez bien. J’ai pris soin de garder ma culotte ainsi que mes escarpins qui n’étaient pas mouillés.
    
    La jeune fille me raccompagne maintenant jusqu’au salon.
    
    Pendant ce temps, le vieux cochon n’a pas raté une miette du spectacle, assis confortablement dans sa chambre grâce à la caméra.
    
    Il s’est branlé devant ce corps parfait en imaginant toutes les perversions qu’il allait lui faire subir. Et puis il a promis au petit une femelle avec laquelle il pourrait s’amuser. Sa décision est prise: CE SERA MA NOUVELLE CHIENNE.
    
    Il est parti saboter la voiture pour que la belle se retrouve coincée.
    
    J’ai vraiment l’air d’une vulgaire putain dans cet accoutrement : jupette écossaise plissée, t-shirt transparent, et mes escarpins à hauts talons. Je n’ai gardé que mon slip transparent Eres mauve, le soutien-gorge étant finalement trop humide. Mes petits tétons pointent à travers le tissu.
    
    Quand je me suis vue dans le miroir de la salle de bain, j’ai remarqué à quel point je pouvais être belle. Je sais l’effet que je fais sur les hommes, mais évidemment dans cette tenue. Cette situation ...
    ... m’excite finalement. Et ce garagiste a l’air si inoffensif. Décidément, mon petit minou n’est pas près de s’assécher aujourd’hui !
    
    La jeune fille a choisi sciemment ces vêtements : c’est la tenue que son père et ses frères préfèrent utiliser avec leurs captives. Elle sait exactement ce que je vais subir dans quelques heures. Elle va même y participer. C’est elle la plus perverse de la famille. A cause de sa laideur, elle hait les belles femmes comme moi. Et comme sa mère !
    
    J’entre dans le salon et là... toute la famille de gogols est réunie pour m’accueillir : le père, vieux cochon ventru, un sourire vicieux aux lèvres, le cadet que j’ai croisé tout à l’heure et qui semble très excité, deux jeunes adultes mâles que je n’avais pas encore vus. Pourtant l’un des deux me dit quelque chose. Le jeune boudin derrière moi termine la fratrie. Il manque pourtant la mère. Sans doute occupée !
    
    Ils me dévisagent tous avec des regards lubriques. En fait, ils ne font pas que me dévisager, ils inspectent avec minutie chaque centimètre carré de mon anatomie, s’attardant qui sur mes seins, qui sur mon ventre, qui sur mes jambes, qui sur mes pieds en fonction des goûts et des fantasmes de chacun.
    
    Malgré ce déguisement de catin et ces regards perçants, je garde ma dignité de bourgeoise. Je toise ces campagnards avec dédain. L’atmosphère est cependant pesante. On entend simplement le tic-tac de la vieille horloge. Je romps le silence en disant avec mon air hautain que je veux récupérer ...
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