1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1332)


    Datte: 12/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... excessive, telle une parfaite soumise. L'instant d'après, Le Noble me fit m'allonger dans le lit, sur le dos. Je frissonnais en sentent la froideur et douceur du drap sous moi, me sentent un peu nerveuse. Tout en observant le Châtelain aller chercher quelque chose dans l’armoire, avant de revenir près de moi en tenant deux jeux de bracelets en cuir noir. Je le regardais, un peu inquiète, mais me laissais faire. Il cercla, pour commencer, mon poignet droit d'un des bracelets, bouclant celui-ci telle une ceinture, puis à l'aide d'un mousqueton, il relia l'anneau ornant le bracelet à celui sur le côté du lit, m'attachant ainsi le bras écarté horizontalement.
    
    Je le regardais en silence, faire le tour du lit, affichant sur Son visage, un sourire radieux. J'hésitais pourtant quelques secondes lorsqu'il me saisit mon poignet gauche. Face à ma réaction, il se pencha et pressa ses lèvres froides dans le creux de ma main. Mon bras se détendit, le laissant procéder de même que pour mon poignet droit, alors que ma respiration s'accéléra. Une fois que mes deux bras furent attachés et écartés à 90 degrés perpendiculaires au reste de mon corps, il se déplaça à ...
    ... l'arrière du lit et ajouta à ma tension en entravant également mes chevilles avec l'autre jeu de bracelets, les reliant également écartées de part et d'autre aux anneaux du lit. Ce n'était pas la première fois que je me retrouvais attachée, pourtant même si j'avais une confiance assurée envers Monsieur le Marquis, à chaque fois, je ne pouvais m'empêcher d'éprouver une certaine appréhension... Il vint ensuite près de moi, s’essayant sur le bord du lit, qui étrangement ne frémit pas et dont le matelas ne s’affaissa même pas un peu de son poids. Il me regarda, non pas comme un prédateur fou prêt à se jeter sur sa proie sans défense, mais bel et bien comme un homme aimant, Dominant certes, mais avec ce regard, oserais-je dire, d'enfant pétillant d'envie et d'émerveillement pour le jouet que mon corps représentais pour Lui, excité à l'idée des heures de Domination/soumission que nous allions pouvoir avoir ensemble. Bref, il me contemplait, il scrutait et savourait mon corps avec sublimation comme un passionné de peinture admirerait très longuement une toile de maître dans un musée
    
    Il se mit à effleurer du bout de ses doigts, mes tétons rougis…
    
    (A suivre …) 
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