1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1332)


    Datte: 12/05/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... Château, il devait en avoir une multitude d'autres, mais d'en découvrir une à l'aménagement si spartiate. Elle n'avait rien à voir avec celle que j'occupais, séculaire du 18ème siècle. Ici pas de meubles anciens, à part une grande armoire garde-robe dans le fond de la pièce et une sorte de pouf banc rectangulaire noir en cuir, qui se trouvait devant un grand lit, assez large nullement à baldaquin celui-ci. Ce qui m'interpella à propos de ce lit, c'est qu'il n’était pas équipé de cousin, ni de couvertures, juste un matelas drapé d'une housse noir. De plus, il était orné de manière visible de part et d'autre des côtés, y compris à l'arrière du lit, de solides anneaux en métal épais. Toutes les cellules de mon corps se mirent à tressaillir d’appréhension, mais Sa voix dans ma tête me murmura qu'il n'y avait rien à craindre. Cette voix était, bien entendu, celle du spectre de Monsieur le Marquis.
    
    - Agenouille-toi, offre-moi ta soumission et ton obéissance et je te comblerais d'intenses plaisirs !
    
    Ainsi, malgré mon appréhension, mais désirant plus que tout à me soumettre à chacun de Ses ordres, je fléchis les jambes et m'agenouillais aussitôt devant lui. Éprouvant à la fois, un mélange de peur, d'excitation et de bonheur qui me submergeait. Je pouvais sentir mon sexe, qui depuis avait retrouvé un peu de sérénité, recommencer à manifester son désir ardent. Je revois le Châtelain, debout devant moi, tenant ma laisse d'une main et de l'autre une cravache, promenant ...
    ... l'extrémité de cette petite boucle de cuir sur mon corps, docilement offert. Soulignant avec les contours de mes seins, jouant avec mes tétons tendus aux aréoles gonflées. Une chaleur intense consumait mon visage, rougissant fortement mes joues et inondait aussi mon vagin. Alors le souffle hésitant, j'appréhendais l'instant où la cravache se lèverait pour retomber brusquement sur ma peau et me cingler de sa languette de cuir... Le premier coup que je reçus fut parfaitement dosé juste pour m'infliger une légère douleur des plus supportables. En revanche, ceux qui suivirent furent beaucoup plus douloureux, mais aussi incroyablement excitants pour moi. Même si je ne pouvais m'empêcher de geindre à chaque fois qu'un coup venait gifler l'un de mes tétons ou s'abattre sur ma poitrine.
    
    Jouait-Il avec mes nerfs, mettait-Il à l'épreuve ma détermination et mon désir d'être Sa soumise, qu'Il m'infligeait cela sans m'attacher ? Je le supposais, vue comme il m’était des plus difficiles façons de me retenir, de ne pas porter mes mains en guise de protection et de réconfort à mes seins, me forçant à les garder croisées dans mon dos. Tandis que tremblante, je me disciplinais à demeurer docilement à genoux, désirant aller jusqu'au bout de ce traitement... Monsieur Le marquis s'interrompit au bout de 10, 15 coups, en me souriant. Étrangement, même si après cela, mes seins étaient rougis et quelque peu douloureux, je me sentais réjouie moi aussi d'avoir su endurer cela sans protestation physique ...