1. Julia, Alicia, Mary


    Datte: 10/05/2021, Catégories: fff, fhh, ffh, frousses, Oral double, fsodo, Humour policier, Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe

    ... blanche, est assise en face d’elles sur un fauteuil ; elle a également une coupe dans sa main, qu’elle porte régulièrement à ses lèvres. Les trois femmes sont silencieuses.
    
    Les jumelles ont les joues rougies, sans doute par la chaleur et l’alcool, ce qui contraste étonnamment avec leurs yeux bleu pâle. Aucune trace de fatigue ne vient se lire sur le beau visage de l’autre femme, qui tourne son regard luisant alternativement vers l’une et l’autre. Elle finit par se lever, pose sa coupe de champagne sur une petite table et, s’approchant du canapé d’une démarche langoureuse forcée, se saisit sans un mot des coupes de champagne des deux jeunes femmes pour les poser également.
    
    Elles la regardent d’un air mi-anxieux mi-impatient, puis se regardent l’une et l’autre, et éclatent soudain de rire. La jeune femme brune revient avec un sourire devant le canapé et vient ensuite s’y agenouiller, une jambe entre les cuisses de chacune des jumelles. Elle détache d’une main ses cheveux, qui viennent, longs et ondulés, entourer son visage mignon et espiègle, que contemplent avec envie les yeux passionnés des deux sosies. Sans un mot, elle les embrasse ardemment tour à tour.
    
    Une chambre à coucher, éclairée de la seule pâle lumière d’une petite lampe de chevet. Deux femmes sont allongées tête-bêche sur le lit ; un homme est agenouillé derrière l’une d’elles. Il la sodomise, la tenant fermement par les hanches et lui assénant de grands coups de bassin, tandis qu’elle a la tête ...
    ... enfouie entre les cuisses de l’autre femme, ses longs cheveux roux ondulés recouvrant son bassin, et la lèche avec frénésie. Tous trois gémissent fort.
    
    Une sorte de « bip » retentit soudain plusieurs fois, tranchant par sa froideur électronique les longues plaintes des trois partenaires. La jeune femme rousse se redresse d’entre les cuisses de sa partenaire et s’extrait de l’étreinte de l’homme, dont le sexe tendu, recouvert d’un préservatif, balance au-dessus du visage de l’autre jeune femme, qui s’est instantanément mise à se masturber.
    
    — Non, laisse tomber, on s’en fout ! dit-il.
    
    Sans lui répondre, elle s’essuie la bouche, s’approche à quatre pattes du bord du lit, et tire jusqu’à elle par la bretelle un petit sac, qu’elle fouille ensuite rapidement. L’homme retire son préservatif et le lance négligemment derrière lui puis, appuyant sur son sexe, en enfonce le gland dans la bouche de la femme restée allongée, qui continue de se masturber de plus belle.
    
    La femme rousse sort un visiophone portable de son sac, repose celui-ci par terre, puis descend du lit et se tient debout dans la pièce, sans plus faire attention au couple. Elle décroche ; la lumière que produit le petit appareil est comme un phare blanc qui éclaire la jeune femme dans la semi-obscurité de la chambre. Elle est somptueuse : son visage angélique surmonte une poitrine de rêve et une silhouette enchanteresse.
    
    — Oui ?
    —Qu’est-ce que vous faites toute nue ? s’exclame une voix d’homme provenant du ...
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