Avec Ondine : sur son balcon
Datte: 10/05/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Galileo, Source: Hds
... l’initiative en se relevant.
Ta chemisette est presque sèche, Je vais donner un petit coup de fer pour qu’elle sèche plus vite. En attendant, sers-nous l’apéritif, j’ai acheté une petite bouteille de champagne, les verres sont dans le petit meuble. J’espère que tu aimes le champagne ?
Je n’ai rien contre le champagne, mais si c’était possible, j’aurais préféré une production Ondine, directement du producteur au consommateur
Après un instant de réflexion elle me répondit en riant.
OK, au goulot alors !
Pour repasser, elle s’était mise à l’aise en enlevant sa jupe mais avait gardé son petit haut. La voir comme ça souriante, très à l’aise, son petit cul nu magnifiquement rebondi, son petit ventre plat, sa toison légère sur un mont de vénus à croquer, tout ça contribuait à une charge érotique extrême.
Je servis son champagne avec des cacahuètes sur la petite table prés du canapé. Dés qu’elle eut rangé la table à repasser, elle s’installa sur le canapé, se glissant de manière à mettre ses fesses juste au bord tout en les écartant. Je m’installais sur un petit coussin entre ses jambes. J’avais la même vue qu’avait sûrement eu G. Courbet lorsqu’il a peint « l’origine du monde ...
... ».
Elle prit son verre d’apéritif et en avala une gorgée. Ma bouche collée sur son sexe, j’attendais une gorgée de la production Ondine mais elle me dit :
• Recules-toi, je voudrais voir mon pipi tomber dans ta bouche !
Je me reculais de quelques centimètres, son minou se contracta et jet d’urine atteignit mon menton. Je Baissais la tête de façon à le recevoir dans ma bouche. Ça devenait un jeu entre nous. Chaque fois qu’elle laissait échapper un jet, je me rapprochais ou m’éloignais de sa vulve pour ne pas en perdre une goutte. Je lui ouvrais les lèvres vaginales avec mes mains de façon à sentir un jet plus puissant au fond de la gorge. Entre chaque rasade, nous nous parlions, de temps en temps, elle laissait tomber une cacahuète dans ma bouche qu’elle arrosait systématiquement ensuite pour que je puisse l’avaler. A un moment, quand elle a eu fini son verre, elle se leva et se baissant sur ma bouche, me fit l’honneur de vider complètement sa vessie dans ma gorge.
Je m’empressais de nettoyer cette chatte sublime et reçue en récompense de la liqueur féminine qui témoignait de ma qualité de lécheur. Fatiguée, elle s’était laisser retomber sur le canapé.
Il était temps de rentrer chez moi…