Avec Ondine : sur son balcon
Datte: 10/05/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Galileo, Source: Hds
CHAPITRE 2
Avec Ondine sur son balcon
Le samedi matin, je téléphone à Ondine pour lui signaler le paquet oublié dans le coffre. Elle affirma qu’elle ne s’en était pas aperçue mais au ton de sa voix, je me rendis compte que c’était bien une version du foulard qui comme par hasard tombe au pied du monsieur. J’esquissais un petit sourire, au fond de moi j’étais fou de joie. Elle avait envie de me revoir et moi je bandais rien qu’en y pensant. Rendez-vous fut donc pris pour le milieu de l’après-midi.
Vers trois heures, prétextant auprès de ma femme de rapporter des documents importants au bureau, je me rendis chez Ondine. En cette belle journée d’octobre, le soleil était encore chaud. Je garais ma voiture à une centaine de mètre du studio et je fis le reste du chemin à pied. Arrivé prés de chez elle, je la vis, accoudée sur son balcon du premier étage, elle discutait avec deux vielles dames sur le trottoirs, elle semblait bien les connaître. Je lui fis un petit signe de la main et elle me répondit discrètement.
Je connaissais son studio pour y avoir monté ses bagages la veille. Sur sa porte, un petit écriteau sur lequel était écrit « entre sans frapper ». J’étais attendu.
J’entrais donc et je la vis tout de suite sur son balcon, elle me tournait le dos et continuait sa conversation comme si de rien n’était. Elle portait une longue et ample jupe en tissu bariolé, une jupe qui descendait jusqu’aux chevilles. Ondine m’avait manifestement entendu parce que, sans se ...
... retourner, elle attrapa discrètement sa jupe par derrière et la remonta tout doucement. Je vis apparaître ses mollets, le pli de ses genoux, ses cuisses et elle s’arrêta au raz de son cul juste ce qu’il faut pour je puisse constater qu’elle n’avait pas de culotte. Toujours discrètement, elle écarta ses jambes. Je compris l’invitation, je m’avançais doucement vers elle en me baissant pour ne pas être vu de la rue. Arrivé derrière elle, je me retournais en m’asseyant, et penchant la tête en arrière, je me glissais entre ses jambes, elle remua légèrement ses fesses pour emprisonner ma tête. Dés que fumes en bonne position, elle laissa retomber sa jupe. Il faisait sombre et chaud sous la jupe. Il me fallut quelques instants pour pouvoir de nouveau distinguer sa chatte. Une odeur de femme en rut me monta aux narines, j’étais bien, à ma place, j’étais née pour être entre les cuisses d’une femme, ma bouche était maintenant prés de son sexe, du bout de ma langue je touchais le nirvana. Sa chatte était humide, ce n’était pas seulement de la sueur. Je savourais son minou quand je sentis qu’elle poussait comme si elle voulait pisser, ma bite se raidit, j’ouvris la bouche en grand, après quelques minutes d’attente qui me parure une éternité, un mince filet de pisse parvint dans la bouche. Son urine avait un petit goût salé, elle était tiède. Je ne sais pas quelle aurait mon opinion si j’avais bu de la pisse dans un contexte moins érotique ? Mais là, dans les conditions présentes, j’étais ...