Sophie et les abeilles (1)
Datte: 08/05/2021,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: TURBO77, Source: Xstory
... envie de discuter les ordres de mon nouveau professeur et risquer de mettre un terme à ma nouvelle aventure pour si peu de chose.
Il avait réanimé le feu dans la cheminée et le chaudron commençait à fumer en dégageant une agréable odeur de légumes et je me surprenais à avoir faim, moi qui rechignais toujours au moment de passer à table
— Bon, va te laver maintenant avant de manger, je suis responsable également de ta bonne santé et comme chacun sait, une bonne santé commence par la propreté.
C’était sans discussion et je m’exécutais. Il avait des proverbes bien à lui, mais ça me faisait sourire et je gagnais ‘’la salle d’eau’ ’Je me déshabillais en tournant le dos au rideau succinct, mais comme je le voyais, il me voyait aussi. Nue dans cet espace réduit avec un homme à quelques mètres, je n’étais pas trop rassurée. J’ouvrais le robinet et poussais un cri de surprise, l’eau était gelée.
Il rentait dans la pièce et entreprit de régler le robinet, pas gêné que je me trouve complètement à poil, il me dit –« Tiens regarde, c’est chaud maintenant » et il restait à me regarder pendant que je passais la main sous l’eau pour apprécier la chaleur. Je me disais qu’il allait ressortir, mais non, il était planté là à me regarder.
J’étais perplexe et ne savais que faire. Je prenais la partie de me laver en lui tournant le dos, je passais le gros morceau de savon qui était au sol et m’en frottais le corps. Il sortit quand même de la salle d’eau et je me tournais pour ...
... plus de facilité, mais en fait, il n’était parti que pour revenir avec une serviette. Il continuait donc à me mater jusqu’à la fin de ma toilette.
— Tourne-toi pour je t’essuie le dos, tu es trempée.
Est-ce que je devais prendre ça comme un service ou comme une tentative de me pelleter. En fait, il me frottait le dos avec la serviette rêche et je finissais moi-même de me sécher. Je voulais récupérer mes vêtements, mais il les avait déjà fait disparaître et me proposait un long tee-shirt couleur kaki avec des motifs de camouflage. De toutes les façons, je ne pouvais rester nue, je passais les vêtements qui cachaient à peine mes fesses, arrivaient au ras de ma fente et dont l’absence d’emmanchure très large, laissaient mes seins libres de chaque côté. Je me disais qu’il avait sûrement préparé son coup.
Il me désignait un placard et me faisait découvrir ce qu’il renfermait, j’avais le droit à un treillis et deux autres tee-shirts kaki, une paire de rangers et deux paires de chaussettes montantes terminaient ma future tenue.
Il m’a indiqué qu’une tenue d’isolement était également à ma disposition dans l’appentis à côté de la maison.
Il s’était débarrassé de ma tenue « de Parisienne » c’est ainsi qu’il définissait ma jupe, mon chemisier et ma petite doudoune matelassée. Si je comprenais bien, il avait tout jeté au feu !
D’un ton péremptoire et autoritaire, Jean-Marie m’ordonnait de mettre la table et de servir le repas, lui s’était assis, je faisais ce qu’il me ...