1. Avec Ondine : en voiture


    Datte: 08/05/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Galileo, Source: Hds

    ... Ondine.
    
    Dehors il avait neigé, il y a environ cinq centimètres de neige sur le trottoir, quelques flocons flottent encore. Sur la chaussée les voitures avaient vite fait de transformer la neige en soupe grise. Il n’est pas très tard et Ondine semble en grande forme, sur la centaine de mètres nous séparant de la voiture elle se colle à moi en me disant des choses cochonnes à mon oreille.
    
    Dans la voiture, elle ne tient pas en place, me léchouille l’oreille, me tient des propos grossiers, sans doute dû à l’alcool mais cela me fait de l’effet et je suis tout émoustillé lorsqu’elle porte sa main sur la bosse de mon pantalon. Elle me branle doucement à travers les tissus en commentant son action. Je roule prudemment sur ma droite, ce n’est pas le moment de se faire arrêter et de souffler dans le ballon. Heureusement les boulevards sont larges. Ondine s’active de plus belle, elle ouvre ma braguette, extirpe mon vit de son caleçon et le prend sauvagement dans la bouche, le suce avec gourmandise, c’est la première fois qu’elle fait ça sans capote. Je redouble de prudence, plaçant une main entre son visage et le volant. La difficulté survient lorsqu’il faut freiner ou passer les vitesses, je décide de rouler en seconde. Quelques automobilistes coincés derrière moi me font savoir leur mécontentement en klaxonnant et en me faisant des appels de phares avant de pouvoir me doubler.
    
    Sous l’action de la pipe je suis dans un état second et j’ai toutes les peines du monde à rester ...
    ... vigilant, heureusement nous arrivons à un croisement qui à l’air très encombré, il faut attendre que le feu passe plusieurs fois au vert avant d’espérer traverser le carrefour. Ondine pompe toujours, mon dard est presque entier dans sa gorge, elle sait comment faire pour me faire jouir. Les voitures devant moi on profité d’un feu au vert pour partir, lorsque ne pouvant plus me retenir, je laisse le foutre jaillir dans la bouche d’Ondine, une jouissance fulgurante comme un éclair dans la tête.
    
    Tout doucement, je reviens à la surface, j’entends des coups de klaxons. Je sursaute en entendant quelqu’un frapper à ma vitre. Deux garçons d’une vingtaine d’année, probablement venu vérifier que tout aller bien. Hilares, ils regardent Ondine en train de nettoyer ma bite. S’apercevant que je les regarde, l’un d’entre eux me fait un signe d’apaisement en mettant ses mains en avant les paumes bien ouvertes et mettant ensuite les deux pouces en l’air pour me faire comprendre qu’ils avaient apprécié le spectacle.
    
    Le feu passe au vert, doucement j’embraie pour traverser le carrefour pendant qu’Ondine remet ma queue dans le caleçon et referme ma braguette. Les jeunes gens de tout à l’heure me double en klaxonnant, ils ont baissé leurs vitres et ont sorti les bras tenant leurs pouces en l’air. Au moins ils n’auront pas perdu leur soirée et auront des choses à raconter à leurs copines.
    
    Un quart d’heure plus tard, je dépose Ondine devant chez elle, ne pouvant malheureusement pas rester, ...