Avec Ondine : en voiture
Datte: 08/05/2021,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
Auteur: Galileo, Source: Hds
... en plein délire secouant mon engin. Brusquement le jet d’urine s’arrête.
• Oh ! Les jolies fleurs…. Merci, c’est gentil.
Elle vient d’apercevoir les fleurs sur la table. Elle se soulève légèrement pour les attraper et se rassoit sur mon visage. Je l’imagine écartant le papier d’emballage et mettant son nez dans le bouquet pour sentir le parfum.
Pendant ce temps, j’en profite pour nettoyer sa chatte, mais ce n’est pas utile sauf pour mon plaisir, de nouveau elle m’envoie un jet de pisse, je n’ai pas le temps de lécher sa vulve qu’un dernier jet éclate sur ma langue. Ondine attend tranquillement et pour mon plus grand bonheur que je la nettoie, régulièrement elle sursaute lorsque je prends son clitoris dans ma bouche, elle s’attarde, se laisse lécher en étouffant des petit cris. Je me branle toujours, je suis prés de l’explosion, Ondine s’en aperçoit, je la sens se pencher pour fouiller dans son sac qui se trouve à ses pieds et sort un mouchoir qu’elle pose sur ma bite.
• Tien un mouchoir pour ne pas en mettre partout… et puis tient, tant que tu y es, lèche-moi donc le trou du cul !
Elle s’avance sur mon visage et se soulève légèrement pour me permettre de respirer. J’enfouis mon visage dans sa raie culière et lèche son petit trou retrouvant l’odeur et goût musqué que je connais bien maintenant. Mon foutre gicle dans le mouchoir. C’est fini, elle se lève, remonte sa culotte et ses bas en remuant son cul pour les ajuster, son cul arrogant qui me toise et ...
... qui semble me dire ‘tu as vu, je peux te faire bander sur un claquement de doigts. Elle conclue.
• C’est vraiment très agréable de se soulager quand on en a envie et avec toi c’est encore meilleur, j’aimerais bien t’avoir toujours à disposition !
Il est déjà tard, je dois prendre une douche réparatrice avant de nous rendre au restaurant.
Nous y arrivons vers vingt et une heures. Ondine est resplendissante dans sa petite robe qui laisse deviner les courbes superbes de son corps. Sans être un temple de la gastronomie, le restaurant était classe avec un éclairage discret et moquette épaisse. Le maître d’hôtel nous avait réservés une table permettant l’intimité, nappe blanche, serviettes en tissus de la même couleur, couvert en argent, petite lampe diffusant de la lumière douce. Tout concourait à une bonne soirée en amoureux.
Pour l’apéritif, le champagne s’imposait. Il manquait un peu de saveur mais je crois que c’est uniquement parce qu’il ne supportait pas la concurrence avec celui dont Ondine m’avait gratifié une heure auparavant. Nous avons commandé un repas à base de produits de la mer, langoustines, coquilles saint jacques, soles. Tous cela accompagné par un vin blanc gouleyant. Le repas fut bien arrosé et Ondine plutôt pompette.
Le temps passe très vite a nous raconter les évènements que nous avons vécu chacun de notre côté et à confirmer que nos jeux humides nous ont manqués à l’un et à l’autre. Passé vingt trois heures, il est temps de raccompagner ...