Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles (1)
Datte: 07/05/2021,
Catégories:
Erotique,
Auteur: megalosex, Source: Xstory
... cuisse, puis remontant vers mon entrejambe ? Qui peut voir ma main caresser ses cuisses ? En plus des sourires complices qu’elle m’adresse … Un jeu auquel Eva s’adapte parfaitement. Ses yeux semblent me dire : « Vous vous entendez bien, tous les deux, n’est-ce-pas ? »
Vers 19 h 30, alors que nous quittons le restaurant, Bozena propose une balade dans le parc municipal. Eva en comprend l’intérêt : c’est là que tout a commencé, en fait, et pour Bozena c’est une façon de boucler la boucle en beauté. Mais l’heure semble tardive :
— Tu sais, Bozena, le parc ferme à 20 h et nous en sommes à dix minutes de marche. Ça va faire vraiment très juste.
— Hum ! Ce ne devrait pas être bien difficile d’obtenir du gardien qu’il nous permette de nous y promener au-delà de l’heure de fermeture.
Le regard de Bozena va de Jana à Eva. C’est qu’au cours du repas, elles ont vidé une bouteille de vin blanc de Moravie, et sont un peu grisées. Etant conducteur, j’étais réduit à l’eau minérale.
— Qu’on lui fasse du charme pour obtenir ça ?
C’est Jana qui a répondu. Puis elle se tourne vers moi :
— Bob, avec cent couronnes, ça devrait marcher aussi. Tu as bien ça sur toi ? Et pour reprendre la suggestion de Bozena, en sortant du parc, on peut … Vous voyez ce que je veux dire ?
L’allusion nous fait rire et nous prenons le chemin du parc.
Quand nous nous présentons devant le portail d’entrée, le gardien est là, avec son trousseau de clé. Quand nous entrons, il regarde sa montre ...
... :
— Désolé, mais vous devrez sortir dans un quart d’heure !
Jana s’approche de lui :
— Nous pouvons rester là jusqu’à, disons, au moins 20 h 30 ? Simplement, vous fermez le portail derrière nous et vous revenez à cette heure-là pour nous ouvrir. Avec ceci, ce sera bon ?
Jana lui remet un billet de cent couronnes plié en quatre. Et comme elle s’est penchée un peu, le gardien a dû apercevoir le creux de ses seins. Jana lui sourit. Lui, la cinquantaine d’années, en déduit qu’il aura sonpourboire à la sortie.
— Bon, c’est d’accord. Entrez tous les quatre et je vous enferme. Mais ne vous faites pas remarquer, pour m’éviter des ennuis. Je reviens dans trois quarts d’heure !
Nous entrons dans le parc d’un pas rapide, le temps d’arriver dans l’allée encadrée d’arbres. La hauteur du mur d’enceinte nous assure la discrétion. Une fois que nous y sommes parvenus , nous adoptons le rythme de la promenade. L’air est très doux, presque chaud.
Bozena et Eva marchent devant et nous suivons, Jana et moi, à quelques pas en arrière. Je la sens chercher à ralentir notre allure :
— Laissons-les partir devant. Elles ont des choses à se dire. Et puis, nous ne sommes pas pressés, n’est-ce-pas ?
Nous les laissons prendre une vingtaine de mètres d’avance. Puis j’enlace Jana, tout en déposant des baisers sur son épaule. Elle m’enlace tout aussitôt :
— Le temps est très doux, n’est-ce-paschéri ?
Elle a chuchoté ces mots. Je la regarde. Puisque j’ai bien deux amours, autant ...