Les soeurs Ukazovà, complices sexuelles (1)
Datte: 07/05/2021,
Catégories:
Erotique,
Auteur: megalosex, Source: Xstory
Me voici de retour, pour ces vacances d’été de l’année 1974. Cette année, j’arrive dès le 30 juin. C’est que je ne peux choisir la date de mes congés à mon gré, n’étant pas le seul, dans mon service.
Il est 15 h 30 quand je gare la voiture devant la maison. Tout est calme. Le portail étant ouvert, j’entre et je toque à la porte d’entrée. Je dois patienter un instant, avant que l’on ouvre. Je me trouve face à Jana, qui m’accueille avec un sourire bienveillant, et me fait la bise avant de me faire entrer. Elle me conduit au séjour où une radio diffuse de la musique.
— Je suis seule en ce moment. Eva n’est pas à la maison, mais nous irons la rejoindre quand tu te seras reposé un peu.
Jana s’éloigne un bref instant puis revient avec une enveloppe :
— C’est un petit mot d’Eva pour t’expliquer la situation. Mais ne te fais pas de souci, tout va bien !
Je sors une petite lettre de l’enveloppe :
«Je ne suis pas là pour le moment, mais sois tranquille, Jana va s’occuper de toi. Vous viendrez me rejoindre, quand elle le décidera. Tu aimes bien ma sœur, n’est-ce-pas ? Eva »
Je souris : « Elle veut me jeter dans ses bras, on dirait … »
Il faut dire qu’elle est toujours aussi craquante, Jana. Elle m’a reçu, vêtue d’une sorte de débardeur long, qui couvre à peine plus que ses fesses. Et visiblement, elle n’a pas grand-chose dessous. Pas de soutien-gorge, en tout cas : les tétons saillent à travers le tissu et l’arrondi du décolleté dévoile le dessus de ses seins ...
... laiteux. Quant à porter une culotte, c’est peu probable.
— Tu as soif, Bob, je suppose.
Jana me tire de ma rêverie coquine et sur ma réponse positive, elle se dirige vers le frigo et se penche pour saisir une bouteille en bas de la porte. Suffisamment pour faire remonter son débardeur, qui dévoile une partie de ses deux jolis melons. Pas de culotte, donc. Et, en plus, elle tarde à se redresser . La coquine tient à ce que je sache qu’elle n’a rien sous son débardeur.
Elle me verse un grand verre de limonade, tandis que je la questionne.
— Quand irons-nous voir Eva ?
Elle jette un œil vers la pendule :
— Vers 17 heures, je pense. Ce n’est pas loin en voiture, peut-être vingt minutes. Tu es pressé de la voir, on dirait ?
Elle sourit. Elle n’est pas dupe. Elle sent mon regard sur son corps. Et cela, visiblement, lui plait.
— Tu te souviens de ce qu’on t’a offert, Eva et moi, juste avant ton départ, l’année dernière ?
Toute en disant cela, Jana est venue s’asseoir, sur le bord de la table, tout près de moi. Ses cuisses nues sont à portée de main et comme elle est presque face à moi, j’ai une vue imprenable sur son entrejambe, avec, en ligne de mire, son abricot lisse.
— Je te plais ? Avant de partir je t’ai dit : « Ça t’excite beaucoup mes nichons » ! Tu l’as bien entendu comme ça ?
— Et comme je lorgne plus ou moins entre ses cuisses :
— Tu veux voir ma chatte ? Tu sais, toutes les cochonneries faites l’année dernière, m’ont rendue très libérée ...