1. Les jumelles, les cousines


    Datte: 05/05/2021, Catégories: fh, ffh, Inceste / Tabou couplea3, Auteur: Tito40, Source: Revebebe

    ... Alain. Un matin, à l’heure du petit déjeuner, elle feignit de découvrir qu’elle avait oublié son bas de pyjama, arrivant dans la cuisine le cul à l’air avant de mettre sa main devant sa bouche et de lâcher un « Oh, pardon… » suivi d’un « Bon, maintenant que vous avez tout vu… » Elle prit ainsi son café en exposant son intimité aux yeux d’Alain et de sa cousine médusés.
    
    Le lendemain, elle ne prit même pas la peine de s’excuser. C’était décidé : elle se montrerait nue, sans gêne aucune, devant sa cousine et son compagnon. Sans culotte et la chemise de nuit ouverte, elle voulait que chacun voie qu’elle avait changé, qu’elle était devenue belle et attirante, et que surtout elle était fière d’elle-même.
    
    C’est terrible, une fille mince et jolie qui écrase ses copines en tortillant du popotin ; c’est pire encore une ancienne grassouillette qui se découvre enfin dans un corps dont elle n’avait pas même rêvé. Elle en rajoute, elle en jouit.
    
    Évidemment, ce qui devait arriver arriva.
    
    Si Sandra, la grosse, avait assisté à telle scène, elle aurait conseillé à sa cousine de se battre, d’éliminer ou à tout le moins de neutraliser la concurrence. Elle lui aurait conseillé d’envoyer l’impétrante se faire voir dans un logement rien que pour elle. Elle lui aurait intimé de donner son congé à la garce qui tortillait du cul devant son compagnon, à lui donner des sueurs dès le matin. Mais voilà, Sandra la grosse n’était plus, et la salope qu’elle était en train de devenir n’avait ...
    ... aucune envie d’aider sa cousine, anciennement trop jolie, et qui en devenait, du coup, banale.
    
    Manon était perdue. Certes, son amant continuait de la désirer ardemment. Il la relançait sans cesse, et dès qu’elle arrivait chez lui, il lui arrachait ses vêtements pour la prendre et la retourner dans tous les sens. Certes, elle aimait sa queue en béton et ses muscles de gladiateur. Certes, avec lui, elle se sentait désirée, mais désirée comme un corps seulement, un cul qu’on défonce, une chatte qu’on éclate, des seins qu’on pétrit, mais pas comme une femme. Alain, lui, tout tendre qu’il fût, n’en était pas moins alerte.
    
    Ce qui fait le piment de la vie, c’est le déséquilibre. On se croit heureux quand tout semble en équilibre, n’est-ce pas ? En réalité, on s’ennuie. On a besoin que quelque chose bouge, que le danger soit visible, un peu, que des frissons nous transcendent, que des incertitudes nous poussent à réagir.
    
    Alain s’était habitué à voir la cousine de sa femme d’un autre œil. Il ne l’épiait pas vraiment, mais ne faisait rien pour éviter de la croiser vers la salle de bain ou dans les couloirs. Il ne s’écartait plus quand elle se collait à lui devant la télé, et ne détournait plus le regard, le matin, quand elle le laissait regarder son corps. De plus en plus souvent il rêvait d’elle, se voyait la toucher, se voyait l’embrasser. En gros et pour être simple, cette fille était devenue bandante.
    
    La torture a duré des mois sans que rien de nouveau ne se passe. Manon ...
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