Les jumelles, les cousines
Datte: 05/05/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
Inceste / Tabou
couplea3,
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... l’invitation d’un avocat, marié et père de famille, pour aller boire un verre discrètement. Muriel en avait nourri une forme de jalousie, laquelle l’a conduite à elle-même solliciter cet avocat pour le soir même. Le chasseur qu’il était ne s’est pas fait prier pour relever le gant et la faire goûter à son expérience. Quelle victoire pour Muriel ! Non seulement elle aurait la satisfaction d’être la première à lui céder, mais au surplus il s’est trouvé que ce garçon voyait son plaisir décuplé en entendant Claire gémir, de sorte qu’il n’a pas résisté bien longtemps avant de lâcher sa gourme. Heureusement, comme le militaire, il était doué d’une capacité raisonnable à retrouver vite de la vigueur, et en a fait profiter la belle.
À force de tenter le diable, il finit par vous coller un polichinelle dans le tiroir. Les deux sœurs se sont retrouvées enceintes, chacune avec un homme que l’autre désirait, chacune prenant un plaisir fou non pas à être fécondée, mais à se faire prendre en se faisant passer pour une proie alors qu’elles étaient elles-mêmes les chasseuses. Le plaisir a été fugace, et a totalement disparu quand le médecin de famille leur a confirmé leur état.
Curieusement, ça les a rapprochées. Elles, qui s’opposaient pour tout et sur tout, sont devenues complices. Elles ont élevé leurs filles ensemble, les habillant comme des sœurs, leur faisant pratiquer les mêmes jeux, essayant de leur inculquer les mêmes goûts.
Seulement voilà ; il y a ce que veulent les ...
... parents, et ce que décident les enfants. Les influences extérieures et la personnalité de chacun ne peuvent que perturber les beaux desseins des adultes.
Manon, sous ses airs de fille indépendante, gaie, frugale et séduisante, n’a en réalité qu’une personnalité effacée qu’elle compense par l’exubérance. Sandra, que tout le monde décrit comme timide et mal dans sa peau, semble n’avoir aucun rêve ; elle serait résignée. En réalité, elle fait de Manon à peu près ce qu’elle veut. Si Manon a fait du cheval, c’est parce que Sandra le voulait. Bien sûr, elle aime ça, mais elle aurait tout aussi bien pu aimer n’importe quel loisir que Sandra lui aurait suggéré. Si elle aime le boudin-purée, c’est aussi Sandra qui le lui a soufflé. Et avec les garçons, c’est pareil. Manon aurait, d’elle-même, choisi ses flirts chez des garçons un peu intellos, des jeunes qui auraient de la conversation, des érudits, des littéraires. Mais pour Sandra, les seuls qui vaillent la peine ce sont les forts en gueule, ceux qui font de la musculation, ceux qui suent à l’effort. Et tant pis pour la causette. Sandra, toujours effacée, toujours en retrait, suggère patiemment ses choix à sa cousine. Celle-ci les exécute en ayant l’impression qu’il s’agit de ses propres choix. Sandra, elle, ne vit rien, du moins directement : elle se nourrit des expériences de Manon, comme si elle les vivait elle-même.
Elles ont fait la même scolarité, la même école de commerce, et ont intégré la même grande entreprise de ...