Les jumelles, les cousines
Datte: 05/05/2021,
Catégories:
fh,
ffh,
Inceste / Tabou
couplea3,
Auteur: Tito40, Source: Revebebe
... montrait pas une inquiétude particulière ; Manon se partageait entre son travail, son mari, et son amant. Sandra s’en est sentie un peu dépossédée, et s’est mise à déprimer.
Quand elle déprime, elle ne mange plus. Ça se voit. Sauf que Manon n’avait guère de temps pour réaliser la situation, et que les kilos se sont enfuis tout doucement, semaine après semaine, de sorte qu’après deux mois d’errances, Sandra a découvert dans le miroir une silhouette étonnante. Ses seins, s’ils tombaient un peu, avaient un volume modeste et une tenue acceptable. En tout cas, ils ne ressemblaient en rien aux mamelles qu’elle portait avec honte auparavant. Ses hanches, marquées, étaient tout à coup mises en valeur comme l’était son ventre, devenu plat et ferme. Ses bras avaient considérablement maigri, mais ce qui l’a le plus étonnée, c’est la forme de ses cuisses. Ce n’étaient plus des boudins mais des jolies formes galbées, que peut-être elle devrait améliorer par un peu de sport. Ses fesses, rondes et hautes, n’avaient rien à envier à celles de sa cousine que tous les hommes rêvaient de sauter. Et ses chevilles accepteraient désormais des escarpins en lieu et place de ses affreuses chaussures de chantier.
Manon était chez son amant quand Sandra est rentrée du travail ce soir-là. Elle s’est dirigée vers la salle de bain, pressée de se déshabiller devant le miroir comme elle avait pris l’habitude de le faire depuis quelques jours. Ses collègues n’en revenaient pas de sa transformation, et ...
... elle non plus. La déprime s’était transformée en une sorte d’euphorie qui l’avait conduite à revoir sa garde-robe, sa posture, sa façon de parler aux gens, sa confiance en elle-même, et sa relation avec sa cousine qu’elle voyait peu.
Il était 17 heures ce soir-là, et à cette heure il n’y avait personne à la maison. Elle n’a pas pris la peine de fermer la porte quand elle a entrepris de se masturber devant le miroir, fière qu’elle était de son image, ses cuisses fines écartées, sa chatte lisse et trempée, ses doigts sur son petit bouton violacé et sensible, ses seins qui pointaient… Quand elle a vu le reflet d’Alain s’approcher, étonné de ce spectacle, elle était en train de jouir bruyamment. Il en est resté tétanisé, droit comme un I. Sandra a caché ses seins d’un bras, son pubis de l’autre, avant de lui faire face.
— Je suis désolée, Alain, je croyais être seule.
— C’est moi qui suis désolé ; je ne voulais pas te déranger.
— Nous sommes désolés tous les deux, alors. Tu garderas ça pour toi, n’est-ce pas ?
— Bien entendu, oui. C’est ton intimité. Je ferai comme si je n’avais rien vu.
— Merci.
— Je voulais quand même te dire que je te trouve très belle. Je suis étonné que tu sois si belle. On vit quasiment ensemble depuis longtemps, et je n’avais pas remarqué à quel point tu es belle. Voilà. Maintenant j’oublie ce que j’ai vu.
— C’est gentil, Alain. Mais tu sais, ce sont les kilos en trop…
— Non, je ne crois pas. Quand on est belle, les kilos en plus ou en moins, ...