1. Je suis un jouet entre ses mains (14)


    Datte: 02/05/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: donico, Source: Xstory

    ... lui sied à merveille.
    
    — Ton cul… Oh putain, Juju, ton cul ! grogne mon frère en posant avidement ses mains sur l’endroit si convoité de son désir.
    
    — Tu les aimes, mes fesses ?
    
    — Si tu savais… Oh, sœurette, si tu savais…
    
    — Ça te dirait de mettre ta grosse queue dedans ?
    
    Ses yeux s’écarquillent de surprise, puis de plaisir lorsque son regard interrogatif croise le mien, qui confirme.
    
    — Encule-moi, p’tit frère.
    
    Le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il ne se fait pas prier. Il se retire brutalement en me repoussant sur le côté, puis il me retourne pour se placer derrière moi.
    
    — T’es sûre ? me demande-t-il une dernière fois.
    
    — Pitié, frangin, défonce-moi le cul !
    
    Il n’en peut plus. Il m’attrape les hanches, positionne son gland à l’entrée de ma rondelle, puis il s’insère en moi. Sa progression est lente, mais je sais déjà que ce ne sera pas long.
    
    — Ah, putain, c’est étroit… c’est merveilleux ! J’ai tellement rêvé de ça, et c’est encore mieux que ce que j’imaginais !
    
    Et effectivement, il n’a même pas besoin d’arriver au bout que déjà il m’inonde les intestins de son sperme. L’excitation était trop forte.
    
    — Justine, oh Justine… soupire-t-il en vidant tout le contenu de ses couilles en moi. Merci, sœurette, ...
    ... merci pour tout… Je t’aime…
    
    — Je t’aime aussi, p’tit frère. Vivement la prochaine fois !
    
    Il se retire alors de moi et je me retourne pour lui faire face. Mes fesses dégoulinent de son sperme brûlant, qui me pique un peu au passage. Le surplus tombe sur le lit, souillant les draps. Il va falloir qu’il cache ça à Chloé, tout en trouvant une excuse pour ne pas la baiser !
    
    Mais ce n’est pas mon problème.
    
    — Justine… me dit mon frère d’une voix douce.
    
    Je l’observe ; ses yeux débordent d’amour.
    
    — T’es une sacrée salope, ajoute-t-il, avec toujours autant d’amour dans la voix.
    
    C’est amusant : c’est la deuxième fois qu’on me le dit aujourd’hui. Alors que j’ai passé toute ma vie à considérer ce mot comme une insulte, je le reçois aujourd’hui comme le plus beau des compliments.
    
    — Oui, c’est vrai, acquiescé-je. Merci.
    
    Le regard de François devient plus intense encore. Il s’approche de moi doucement.
    
    — Je t’aime, Justine.
    
    Puis il m’embrasse. Pas de manière sensuelle ou par jeu. Non, un vrai baiser d’amoureux. Et je le reçois avec plaisir ; je le lui rends, même. Nos langues se mêlent, se caressent.
    
    Coucher avec mon frère est une chose ; l’embrasser ainsi en est encore une autre.
    
    Jusqu’où tout cela va-t-il me conduire ? 
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