Abusée Ch. 14
Datte: 02/05/2021,
Catégories:
Non Consentement / À contre-cœur
Auteur: bytrouchard, Source: Literotica
... conduire Clem jusqu'à moi, son énorme queue se balançant en dehors de son pantalon de travail. Elle saisissait le membre épais avec ses deux mains et criait :
- Pissez sur la salope Clem!
La foule était en délire et je fermais les yeux en attendant la pisse éclabousser mon visage et mes seins. La foule acclamait le concierge.
Soudain, une voix familière me tira de ma rêverie :
- Ouvre ta bouche salope!
J'ouvris mes yeux, m'attendant à voir le visage de Marianne SMOLEN. Mais je vis Glen à la place. Mon bandeau avait été enlevé et son visage était à l'envers. Il me regardait méchamment pendant que mon mari labourait ma chatte humide et déjà bien utilisée. Je sentis une claque sur ma joue et les yeux mouillés de larmes, j'obéis. J'ouvris la bouche et Glen cracha dedans.
- Tiens putain de salope, avale! Dit-il.
Je fus mortifiée. Glen venait de cracher dans ma bouche devant mon mari. J'essayai de pousser le mollard gluant avec ma langue tout en refermant ma bouche. J'entendis la voix de mon mari :
- Avale espèce de chienne!
Un autre crachat frappa mes lèvres et commença à couler dans ma bouche. Je continuai à fermer ma bouche mais une claque tomba sur mon autre joue. Alors j'ouvris la bouche comme un oisillon attendant d'être nourri par sa mère sans oser désobéir à ces hommes qui possédaient mon corps. Tous les deux, de concert, ils continuèrent à me cracher dessus. Je fus vaincue par l'humiliation. J'eus l'impression d'être tirée dans un trou noir. Je ...
... sentis un orgasme commencer à bouger au fond de mon ventre. Je paniquai. Je ne voulus pas que mon mari aimé s'aperçoive que ce traitement dégradant et obscène me poussait au bord de l'orgasme. Pendant un instant, je crus que si je pouvais m'empêcher de jouir, je pouvais cacher le fait que je désirais être soumise et subir ce traitement humiliant. Malgré ma résistance, la queue dans ma chatte bouscula mes entrailles presque jusqu'au point de non-retour.
Brusquement, la bite fut retirée de ma chatte, me laissant un grand vide à remplir. Au début, je fus soulagée mais la douleur dans mon ventre ne fit qu'exacerber mon besoin d'être baisée profondément. J'entendis ma voix supplier pour une queue :
- S'il vous plaît, s'il vous plaît, baisez-moi!
Je me débattis dans mes liens et, sans vergogne, j'essayai d'ouvrir mes jambes encore plus larges qu'elles ne l'étaient déjà. Mon humiliation et mon avilissement étaient maintenant terminée. J'avais pleinement accepté ma honte et ma dévalorisation.
Je sentis quelque chose de gros pousser contre les petites lèvres de ma chatte. J'essayai de me cambrer pour que ça entre plus facilement dans mon sexe mort de faim. Je levai les yeux et je vis Glen. Les veines de son cou étaient apparentes et son visage tout rouge. Il me regarda avec convoitise. Sa queue semblait si épaisse, si gorgée de sang. Elle était dressée et elle était pour moi. Malgré le fait évident que j'étais une femme infidèle, une salope, une pute, une vide-couilles, ...