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Abusée Ch. 14
Datte: 02/05/2021, Catégories: Non Consentement / À contre-cœur Auteur: bytrouchard, Source: Literotica
... avec jubilation. La bite sortit de ma bouche et le pouf fit demi-tour. Mon intimité fut sondée. Je sentis la tête épaisse d'un pénis fendre les lèvres de ma chatte gonflée et s'enfoncer brutalement en moi. Mon clitoris fut attiré à l'intérieur par le mouvement jusqu'au moment où le membre toucha le fond de ma chatte. Je sentis une paire de couilles claquer contre mon cul. L'homme commença à baiser ma chatte en rythme. Il tint le balai et me tira sur sa queue, m'utilisant comme un simple trou à pénétrer. J'étais sans défense contre ce traitement violent. La pièce devint floue et tout mon être était canalisé sur mon sexe. - Oui, baise-moi! Baise la salope! Baise-moi violemment! Alors que j'étais pilonnée sans pitié, je sentis la douleur de pinces à mamelons appliquées sur mes tétons pour les faire durcir. La douleur fut violente au début, mais elle partit pour laisser une sensation trouble qui s'étendit de mes mamelons à mon clitoris, une sensation qui ne pourrait être apaisée que par un orgasme. On lia les petites chaînes attachées aux pinces au balai. Et quand la personne qui me baisait tirait sur le manche, mes tétons étaient péniblement étirés puis relâchés. Je m'entendis sangloter, mes larmes étant absorbées par le foulard de soie noué autour de mes yeux. Je commençai à halluciner et je me représentai sur la scène de l'auditorium de mon école. Marianne SMOLEN était vers le podium et je pouvais entendre les voix vicieuses de mes étudiants, filles et garçons qui ...
... me huaient et me sifflaient. - Maintenant, les garçons et les filles, vous allez voir ce qui se passe pour les femmes qui deviennent des salopes avides de bites. Mme BONHAM est punie pour son comportement inconvenant. Clem, ouvrez le rideau! Je m'imaginais que le pouf était sur une table qui tournait lentement au centre de la scène de l'auditorium, m'exposant ainsi à l'ensemble du corps étudiant. J'étais ligotée comme une cochonne, exposant vulgairement mon intimité à tous. Glen et mon mari Mike étaient debout à côté de moi, arborant d'énormes érections, des gouttes pré-éjaculatoires sur leur gland. Je paniquais et j'avais un gigantesque sentiment de honte en pensant que tous les élèves regardaient ma nudité exposée et le sexe de mon mari. Une première bite me pénétrait. J'entendais le public, dirigé par la voix railleuse de la vice-principale, commencer à chanter en rythme avec les coups de hanches que je recevais. La voix de Marianne SMOLEN était incompréhensible. Mais le grondement profond qui sortait de sa bouche ainsi que les chants de la foule brassaient mes tripes et augmentaient mon excitation. Je l'entendais dire des choses ignobles sur ma personne. Elle me narguait, encourageant l'assemblée à m'insulter et m'avilir et à encourager les deux hommes à me baiser et à abuser de moi. Je pouvais sentir un orgasme se former dans mon ventre, mais je me battais pour qu'il n'arrive pas. Je ne voulais pas jouir et avoir honte devant l'assemblée. Je voyais Marianne ...