1. Une opportunité 7


    Datte: 02/05/2021, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: Accent, Source: Hds

    ... Rappelle-moi quand tu seras décidée.
    
    J’entends le bruit des chaises.
    
    - Tu sais, c’est purement professionnel. Réfléchis vite
    
    - Vu sous cet angle, si c’est professionnel, je m’incline.
    
    - Alors, allons dans ton lit. J’ai une petite heure à te consacrer sur mon temps de travail. Je vais te faire oublier le forfait de Serge, hier soir. dans la voiture l'amour a été trop expéditif
    
    Me voilà fixé. Quelle soumission. Je n’en reviens pas. Il faut que je voie la différence entre un adultère ordinaire et un adultère professionnel. A pas de loup j’arrive à hauteur de la porte de ma chambre. Tournée vers le miroir de l’armoire, Patricia remet en place des mèches rebelles. Le zigoto finit d’enlever son slip, attrape sa quéquette, se masturbe pour lui donner consistance.
    
    - Chérie, viens m’aider. A genoux, c’est l’heure de la pipe. Tu as deux mains, une bouche chaude, fais le nécessaire pour me rendre présentable.
    
    Elle s’exécute sans mot dire. Elle doit être vexée de devoir plier. le mot "professionnel " est le"sésameouvre-toi" du recruteur. Il en use et en abuse avec succès :
    
    - Dis: c’est professionnel. Tu as lu les contrats: tu dois donner entière satisfaction à la hiérarchie que je représente officiellement aujourd'hui.. Tu ne dois pas bouder. Tu dois t’appliquer. Les mains me branlent, les lèvres me sucent et la langue tournoie sur le sommet du gland. Tu as compris. Continue avec application. C’est mieux, mais, je le sais, « peut mieux faire. »... Voilà, tu fais ...
    ... des progrès, c'est réjouissant; il suffit de vouloir. Attention aux dents, ne mords pas. Si tu m’estropies je ne pourrai pas signer.
    
    . Là-haut l’exercice prend de la voix. Les deux partenaires se sont mis au diapason, les gémissements répondent aux cris de ravissement. C’est purement professionnel. Qu’ils continuent. Les illusions s’envoleront d’elles-mêmes. Je n’ai pas à me montrer désagréable. J’ai un regret, jamais je ne pourrai suivre les exploits vrais ou simulés de Patricia sur mon moniteur, le soir quand elle fera du nettoyage sans avoir les cordonnées du site. Il faut que je me libère demain, pour la suivre à l’adresse du studio.
    
    Me voici voyeur. Ils sont occupés en un 69 bruyant, agité. Elle dessus, me présente son plaisant arrière- train. Les globes savoureux des fesses tremblent, se contractent puis se détendent sous la pression de la langue fureteuse qui balaie la raie avant de retourner au bouton irrité. Les deux bras de Claude maintiennent ferme la masse charnue, elle sursaute en soufflant mais ne peut lui échapper. Du fouillis de chairs humides il réclame un arrêt. N’a-t-elle pas compris, elle s’acharne sur le braquemart, décidée à lui vider les couilles.
    
    Alors il la rejette sur le dos, se retourne et s’allonge sur elle, étalon furieux, queue tendue, dure et endolorie. Elle se demande encore ce qui lui arrive, mais sent l’invasion pressée, insistante, brûlante. Ses lèvres gonflées de sang, ses lèvres sucées, mordues, égratignées, douloureuses n’opposent ...