Banquière perverse (12)
Datte: 02/05/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... saisis mon mandrin d’une main et l’enfonce dans son con d’un coup sec jusqu’à la garde ; je touche le fond de sa caverne. Je la pistonne, mes cuisses battent le haut des ses cuisses et mes mains claquent ses fesses ; à chaque coup de boutoir elle crie des :
— Ah, ouiii… ! Encore… ! Plus vite… ! Vite… ! » interminables.
J’ai envie de jouer, alors, je lui attrape les tétons que je tords et tire dans tous les sens, plus je tords et tire, et plus elle crie. Je l’encourage :
— Ah, ouiii… ! Encore… !
— Allez, dis que t’es une grosse salope perverse !
— Oui, je suis une salope perverse et aussi une grosse cochonne ; vas-y encule-moi… !
Sans attendre je saisi mon bâton gluant de son jus et vise son trou du cul, je l’enfonce sans ménagement et je lime à nouveau, mes couilles battent sa chatte dégoulinante, et je tape, et je bats, et je lime, et je râle, et je rugis des :
— Tiens, prends ça, salope ! Ah, tu aimes te faire baiser ton gros cul !
— Oh, ouiii… ! Vite… ! Plus vite… ! J’arriveee… ! Oh, ouiii… ! Je jouieee… !
Je sens son antre vibrer et son anus se resserrer ; elle est parcourue par les spasmes de l’orgasme que je qualifierai de puissants. Elle convulse à moitié, mais ce n’est pas terminé, je ...
... sors de son cul ma queue qui a changée de couleur ; elle est marron.
— Suce-moi, allez… tourne-toi et nettoie ma bite ! Suce, salope … !
Elle se retourne et se jette sur mon sexe comme une chienne affamée sur un morceau de viande. Elle embouche mon phallus enrobé, et après un léger haut-le-cœur ; elle me fait une fellation d’enfer. Elle me lèche à grand coups de langue comme une chienne qu’elle est.
Ça aussi c’était un de mes fantasmes : me faire sucer par une nana après l’avoir sodomisée. Je lui offre un bonus : je viens de me vider dans sa bouche en lui envoyant une rafale de jets de sperme. Elle lève les yeux vers moi et m’envoie un regard jubilatoire, elle ouvre la bouche en grand et m’offre le spectacle de sa langue brassant une crème couleur chocolat. Après avoir bien mélangé le tout, elle l’avale avec délectation.
— Ah… ! Que c’est bon ! T’es un champion, Issam !
À moitié dégouté par le spectacle qu’elle vient de me donner, je file dans la salle de bain et y prendre une douche salvatrice. Me voici tout propre et re-parfumé grâce au parfum - Chrome - trouvé sur la tablette du lavabo. De retour dans la chambre :
— Issam, je vais me doucher ; tu m’attends, couche-toi ; tu dormiras avec moi !
[À suivre]