Banquière perverse (12)
Datte: 02/05/2021,
Catégories:
Trash,
Auteur: Pikatchu, Source: Xstory
... la tablette du second lavabo.
Tout en l’écoutant je jette un coup d’œil circulaire dans la chambre. Elle est magnifiquement décorée : au sol, le parquet brillant comme un miroir grince sous mes pas. Des tentures et des tableaux ornent les murs. Face au lit gigantesque où se trouve Madame, et posé au bout de la tablette de la cheminée sans feu ; un humidificateur crachote une fine vapeur à l’odeur enivrante.
Je me dirige vers une porte - j’ai le choix, il y en a deux - je bascule la poignée d’une et ouvre la porte ; la lumière s’allume automatiquement. Mon erreur me conduit dans une pièce que Madame me désigne comme être Son dressing. Au premier coup d’œil je ne vois que des étagères remplies de chaussures de tous les genres et de tous les modèles. Des portants supportent une foultitude de robes, manteaux, pantalons et chemisiers. Il y a aussi des chapeaux, et une petite porte fermée.
— Issam ! Je pense que tu auras du mal à prendre une douche dans cette pièce, tu avais une chance sur deux, et tu as perdu ; alors tu me feras exactement ce que je vais te demander.
— Bien Madame.
J’ouvre la seconde porte, et là effectivement ; c’est la salle de bain, de luxe ! Je ne suis pas expert en décoration mais je pense qu’elle est recouverte du sol au plafond de marbre blanc. Il y a tout : une immense baignoire / jacuzzi, une douche à l’italienne avec un seul pare-douche en verre. On y entre par une extrémité et on pourrait y tenir au moins à trois ; le ciel de douche ...
... m’invite. Face à moi un lavabo - double vasque - où m’attend sur la tablette le fameux «tout ce qu’il me faut ». Ce qu’il y a de bien dans cette maison c’est qu’au moins on ne passe pas trop de temps à se dessaper ; t’es toujours à poil et sans poils ! Sous la douche, je me motive afin d’être à la hauteur des attentes de Madame, et rien qu’à l’idée de baiser cette grosse perverse, j’y arrive. C’est donc propre, rasé de près, parfumé, et sabre au clair que je me présente à elle.
— Waouh… Issam… quel membre ! Tu me donnes une terrible envie ; viens et prends moi comme un sauvage ! dit-elle avec un regard rempli de gourmandise.
— Vous en êtes certaine ? Très bien, dans ce cas je fais ce que je veux !
— Tu as carte blanche : fesse-moi, insulte-moi, baise-moi comme une salope que je suis ; fais moi crier de bonheur, je veux un orgasme mémorable.
— Vous êtes sûr de ne pas le regretter ?
— Oui…et tutoie-moi, s’il te plait.
— Alors, tu l’auras voulu ! Amène-toi salope que je te baise !
C’est plus que je ne l’espérais, elle est demandeuse, alors au diable les préjugés.
« Putain ! Tu vas voir ce que je vais te mettre, Madame va être servie ! » jubilé-je intérieurement.
L’idée de secouer cette grosse baderne, histoire de… de me venger de ce qu’elle nous a fait faire à sa banque, ceci ne me déplait pas du tout. Je saute sur le lit et m’assois à califourchon sur ses cuisses, puis j’attrape ses seins par les tétons, et je tire, et je tire.
— C’est ce que tu veux ...