Ma sulfureuse tante Charlène (1)
Datte: 01/05/2021,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: JoLeBelge, Source: Xstory
... enveloppes avec bonne humeur.
Ma mère annonça qu’elle allait servir le repas, nous sommes donc passés à table. Bien sûr, j’installai tatie Charlène à côté de moi. Nous rions à nos blagues et discutions avec gaieté pendant que ma mère faisait le service. D’abord, une petite entrée de salade de saumon fumé, j’adore le saumon. Ensuite, le gigot d’agneau arriva avec les pommes duchesse, champignons et autres plats d’accompagnement. Ma mère avait toujours été un cordon bleu et un excellent repas entraînait une bonne ambiance. Malgré cela, je sentais cette petite tension à peine palpable entre ma mère et ma tante assise juste à côté de moi.
En fait, cela avait toujours été ainsi maintenant que j’y pensais. Aussi loin que je me souvenais, ces deux-là semblaient perpétuellement à couteaux tirés, même si elles le masquaient afin de faire bonne figure auprès de la famille et des amis. Ne pas inviter ma tante n’aurait certainement pas dérangé ma mère qui n’aimait pas l’attitude souvent provocante de sa sœur, mais la famille reste la famille et je fus très insistant sur la présence de tante Charlène qui était finalement la seule personne aussi agréable à regarder. Elle, si libre, si belle avec un petit air de pin-up, était l’opposée de ma génitrice, également belle à sa manière, mais si stricte, si rigide. Froide, oserais-je ? Car imaginer ma mère tailler une pipe à mon père était inconcevable.
Puis vint le moment du gâteau. Un véritable délice pour les papilles gustatives. Ma ...
... mère avait ses défauts, mais c’était une véritable femme au foyer, bien que ce genre ne fût plus à la mode. Je servis une part à tatie Charlène, cette dernière me posa ensuite une question qui allait changer l’atmosphère :
— Dis-moi Nathan, comment ça se passe côté fille ?
— Ben, tu sais tatie, disons que c’est creux pour le moment.
— Quoi ? Un si beau jeune homme comme toi ? Je ne te crois pas, ce n’est pas bien de mentir à ta tata.
— Hé bien, poursuivis-je timidement, il y a bien des filles; mais aucune avec qui je me marierais, si tu vois ce que je veux dire, déclarais-je avec un sourire en coin.
Elle se mit à rire et ajouta :
— Oh oui, je vois bien, me dit-elle, en me donnant un coup de coude amical. Tu as raison; profite de la vie; tu auras bien le temps d’être sage quand tu seras plus vieux.
Ma mère s’énerva en entendant cela :
— Ne l’encourage pas avec ce genre de pensée, je te prie, intervint-elle, le visage crispé. Mon fils n’est pas un débauché.
— Qui parle de débauche ? rectifia tante Charlène d’un ton apaisant. Mais Nathan est jeune et si beau garçon, qu’il en profite. A cet âge, les filles vont et viennent, tu sais. Souviens-toi à notre époque, nous...
— Et alors ? La coupa-t-elle. Toutes les jeunes filles ne sont pas des dépravées dans ton genre, Charlène.
Tss. L’insulte était dure et gratuite. Ma mère avait visiblement un verre dans le nez, car Tante Charlène ne ressemblait en rien à une dépravée. Heureusement, le reste de la ...