1. Ma sulfureuse tante Charlène (1)


    Datte: 01/05/2021, Catégories: Inceste / Tabou Auteur: JoLeBelge, Source: Xstory

    En regardant par la fenêtre, j’aperçus le taxi s’arrêter devant la maison. La porte arrière s’ouvrit, puis de longues jambes élancées enjambèrent l’une après l’autre le bas de la portière. Je me cachai derrière le rideau afin d’observer ma tante sortir du taxi. Elle était belle comme toujours. Ses cheveux blonds, mais décolorés à la racine étaient attachés en une queue-de-cheval, tombant jusqu’à ses épaules, tandis qu’une large mèche lui barrait le front. Elle portait une veste noire au-dessus d’un mince pull sans manche gris-clair à col roulé moulant sa poitrine ; sa jupe n’était pas si courte, mais me laissait tout le loisir d’admirer ses jambes élancées. Merde, putain, qu’elle était attirante ma tante ! A mes yeux, ses quarante ans presque n’altéraient en rien sa beauté; ils la bonifiaient.
    
    Juste derrière elle, la mignonne Clémentine bondit du taxi. Tante Charlène l’avait eue à ses trente ans. La petite avait huit ans; le portrait craché de sa mère lorsqu’elle avait son âge à ce qu’on dit. Elles s’approchèrent de la porte, je fis de même. La sonnette retentit, mais pas de précipitation, laissons les attendre quelques secondes avant d’ouvrir.
    
    — Bon anniversaire Nathan ! s’écria, tout enjouée, la petite Clémentine lorsque j’ouvris la porte.
    
    — Hey ! Bon anniversaire neveu !
    
    — Bonjour ! Clem, bonjour ! tante Charlène, je suis content de vous voir !
    
    Elle me fit la bise, deux même, pour l’occasion. J’eus le plaisir de sentir son parfum enivrant qui me donnait ...
    ... l’envie de l’enlacer.
    
    — Alors Nathan, ça fait quoi d’avoir dix-huit ans ?
    
    — Oh, ça ne change pas d’hier, plaisantais-je avec un grand sourire.
    
    — Ah ! Tu ne dirais pas la même chose quand tu auras mon âge ! Tiens, dit-elle en me passant un sac en papier, joyeux anniversaire !
    
    — Oh, merci tatie !
    
    Je lui fis la bise, deux pour l’occasion. Je découvrais à l’intérieur un parfum pour homme. Je savais déjà qu’il devait sentir bon, car je connaissais bien son bon goût en la matière.
    
    — De quoi séduire les filles, me murmura-t-elle mielleusement.
    
    Je voulais une nouvelle fois lui faire la bise, pour ne pas dire l’embrasser, mais je me retins. Encore une chance. Ma mère approcha, je reconnus immédiatement son sourire hypocrite. Quoi ? Etait-elle déjà de mauvaise humeur ? La simple vue de sa sœur rendait-elle ma mère morose à ce point ? Néanmoins, elle la salua avec tout le respect dû à sa sœur, mais sans plus. Heureusement, elle fut bien plus chaleureuse avec sa petite nièce.
    
    Le reste de ma généalogie arriva peu de temps après avec de petits cadeaux. Grands-parents, cousins, oncle : de quoi fêter dignement mon anniversaire en famille. En tant que maître de cérémonie, si j’ose dire, je m’appliquais à être aux petits soins pour eux, tata Charlène la première, leur servant alcools et apéritifs et discutant avec eux de l’achat d’occasion de ma nouvelle et première voiture dont j’étais fier. L’apéritif se passa dans la joie et la bonne humeur, déballant cadeaux et ...
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