1. FANTASMES DE CLAIRE


    Datte: 11/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: OLIHEN69, Source: Hds

    ... mon épouvante, je sens la main de Lady V sur mes fesses, qui indique où poser les fers, j’entends le sifflement d'une flamme. Une seule abominable douleur me transperce, j’hurle sous le bâillon et raidie dans mes chaînes, et je ne sais jamais qui a enfoncé dans la chair, de mes fesses les deux fers rouges à la fois, ni quelle voix a compté lentement jusqu'à cinq, ni sur le geste de qui ils ont été retirés.
    
    A moitié évanouie, je suis livrée à un harem d’étalons qui m’enculent jusqu’à plusieurs orgasmes. Mon pubis se couvre de spermes.
    
    Après une heure d’orgie, on me détache. Nathan me porte dans ses bras, me prend aux épaules et aux jarrets, me soulève et m’emporte.
    
    Je me retrouve sur le canapé du salon, cuisses écartées, dévoilant mes fers. On me complimente tout en prenant un apéritif. On me nourrit, tout en caressant ma chatte ferrée et mes lettres sur mes fesses. Les fers me descendent jusqu’au tiers de cuisses. Les marques imprimées par le fer rouge, hautes de trois doigts et larges de moitié leur hauteur, sont creusées dans la chair comme par une gouge, à près d'un centimètre de profondeur.
    
    Je suis devenue une soumise facilement identifiée par mes fers et mes marques.
    
    Ce n’est qu’en fin d’après-midi, que je quitte le château, pour retrouver Emmanuelle.
    
    Nue devant lui, je me laisse caresser par lui et d’autres transsexuels. Je passe la soirée jusqu’à l’aube, à passer de mandrins en mandrins pour m’enculer, jusqu’à l’évanouissement.
    
    RETOUR AU CLUB ...
    ... PRIVE
    
    Le lendemain matin, entourée par Emmanuelle et le superbe transsexuel brésilien, blond, aux seins plantureux, Sabrina, j’apprend par Emmanuelle :
    
    - Ma soumise Vicieuse, maintenant que tu es ferrée et marquée, tu dois séjourner dans une annexe du club privé, en bord de mer. Des dizaines de clients ont hâte de revoir ton corps, ton écrin lisse et surtout honorer ton œillet. Tu seras payée comme tu l’es depuis le premier jour de notre rencontre. Chaque abattage te donne droit à un pourboire. L’argent est placé en lieu sûr. Va te doucher, je vais te cravacher ensuite et tu seras conduite nue sous ton tailleur, au lieu secret.
    
    Dans ma salle de bains, je regarde mon nouveau corps. Mes grandes lèvres sont étirées davantage par les fers, mes mamelons constamment tendus portent encore les marques des pinces, mon clitoris est constamment tendu, mes seins plantureux sont chauds. Je mouille sans me caresser sous la douche. Les fers se balancent entre mes cuisses à chaque mouvement. Je ne cesse de penser à un mandrin.
    
    Une fois propre, Emmanuelle me cravache, menottée, les bras en l’air, accroupie, cuisses écartées, l’anus rempli par une canule pour mon lavement. Mes fesses, mes cuisses, mes reins et mes seins sont zébrés.
    
    Libre, je me farde et me parfume. Je revêts un corset seins nus sous ma veste de tailleur fuchsia, enfile une jupe éventail fuchsia et chausse mes mules blanches à hauts talons, je me coiffe d’une queue-de-cheval. Je mets mon gros bijou d’anus.
    
    Comme ...