1. FANTASMES DE CLAIRE


    Datte: 11/05/2018, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: OLIHEN69, Source: Hds

    ... sandales. Les chasseurs me violent d’abord seul, puis à plusieurs. Mon corps est recouvert de divers motifs.
    
    Etant la plus courtisée, je finis gagnante de la chasse à courre et je deviens aussi chasseuse de jeunes soumis que je viole avec un gode-ceinture doté d’un double vibromasseur interne.
    
    Je tombe amoureux d’un des soumis, qui se révèle être un transsexuel.
    
    Le soir venu, il m’encule longuement devant les chasseurs jusqu’à une série d’orgasmes.
    
    En un mois, je suis devenue très recherchée comme soubrette, docile, soumise et courtoise.
    
    Avant d’être ferrée et marquée, j’assiste à la séance pour les autres filles. Je suis équipée d’un bâillon-pénis, d’un collier de maintien qui m’empêche de baisser la tête, mes seins sont entourés de cordes et des pinces sont reliées à mon collier de maintien, mes mains sont liées dans le dos, ma chatte est maintenue grande ouverte par un système de porte-jarretelles et mon anus est rempli par un vibromasseur moulé sur le sexe d’un cheval et je suis nue et en mules à très hauts talons. Je dois regarder la séance, immobile, juste mon bassin ondule sur le vibromasseur.
    
    Je mouille en regardant le supplice de la fille.
    
    A son réveil, je lui offre mon anus à lécher, puis je l’encule, en compagnie des invités, offrant mon anus simultanément à l’un d’eux. Ce double plaisir me conduit à un violent orgasme anal.
    
    Sir William est fier de moi.
    
    Début septembre, à l’aube, je suis réveillée, encore enchaînée à mon lit, les cuisses ...
    ... complètement ouvertes, mes chevilles fixées par des chaînes au plafond, mes mains fixées à mon cou, la bouche débordant de sperme, ainsi que mon anus, par les saillies canines nocturnes.
    
    Nathan me détache, me lave et je rejoins nue, pieds nus, la salle pour être marquée et ferrée.
    
    A moitié endormie, je suis suspendue dans le vide, toujours les cuisses complètement ouvertes, les bras en l’air, enchaînée à des crochets au plafond. Je porte pendant quelques heures encore mes clochettes à mes grandes lèvres. Un collier de maintien m’empêche de bouger la tête. Il fait sombre. Ma chatte est léchée par les chiens. Je jouis jusqu’à l’orgasme. Les clochettes tintent.
    
    Au lever du soleil, je suis lavée, fardée et parfumée.
    
    On amène un gros poêle noir et rond dont le couvercle a été ôté, on voit rougeoyer des braises intenses.
    
    On me retire les clochettes et on perce mes grandes lèvres, pour poser deux fers, un par lèvre. Chaque anneau est long comme deux phalanges du petit doigt, qu'on y peut glisser. A chacun est suspendu, comme un nouveau maillon, ou comme au support d'une boucle d'oreille un anneau qui doit être dans le même plan que l'oreille et la prolonger, un disque de même métal aussi large que l'anneau est long. Sur une des faces, un S niellé d'or, sur l'autre, mon nom, le titre, le nom et le prénom de mon Maître, et au-dessous, un fouet et une cravache entrecroisés. Les ressorts s’emboîtent d’un seul coup.
    
    Puis je reçois un bâillon-pénis en bouche. Perdue dans ...