1. Je l'appelais Maman (1)


    Datte: 27/04/2021, Catégories: Hétéro Auteur: doumeg170, Source: Xstory

    ... oui, ça arrive.
    
    — Qu’est-ce que tu fais quand il grossit ?
    
    — Je le prends dans la main, je le serre fort et j’attends qu’il désenfle.
    
    — Vraiment... fais-moi voir ça !
    
    Elle est toujours assise sur le bord de la baignoire. La serviette qu’elle avait nouée autour de sa taille a glissé sur ses cuisses. Elle a presque ma braguette à la hauteur de sa figure. Lentement, elle ouvre mon pantalon et va chercher dans le slip un sexe qu’elle a du mal à sortir tant il est tendu. L’ayant mis à l’air, presque devant ses yeux, elle le considère, un peu étonnée.
    
    — Tu sais qu’elle est aussi belle que celle de ton père ? Attends, il faut que je voie tout. Tu permets ?
    
    Sans attendre ma réponse, elle baisse pantalon et slip et prend le reste dans sa main en faisant mine de le soupeser.
    
    La queue est tellement près de son visage, que, sans y prendre garde, sa bouche l’effleure. Je retiens mon souffle. « Maman » fait glisser doucement la peau.
    
    — Qu’est-ce que ça te fait quand je fais ça ?
    
    Elle se met à me branler. Ses doigts sont chauds ; sa paume est soyeuse.
    
    — Ca... me fait du bien !
    
    — Tu ne l’as jamais fait ?
    
    — Si... mais c’est pas pareil.
    
    Elle sourit. Tout à coup, elle retire sa main et se relève. Elle détache la serviette. D’un pas souple, elle se remet sous la douche et fait couler un peu d’eau.
    
    — Je n’avais pas fini, dit-elle. Puisque tu es là, tu vas m’aider à terminer ma toilette. Prends ce savon et frotte le bas du dos. Mes mains s’affairent. ...
    ... Elles arrivent aux fesses charnues et rebondies.
    
    — Pas trop fort ! Là... Un peu plus bas...
    
    Sa voix est toute changée. Elle s’appuie au mur de la douche et tend la croupe comme pour suivre mes gestes. Je sens sous mes doigts le petit trou entouré de poils épais.
    
    — Mets ton doigt dedans pour qu’il soit bien propre !
    
    Je glisse l’index et le fais aller et venir. « Maman » a la respiration haletante, elle se met à gémir.
    
    Mon zizi est toujours en l’air ; dur comme de l’acier. Je barbouille de savon le ventre qui ondule sous ma caresse et je sens la rude toison qui s’assouplit. A ce contact, mon engin a de tels soubresauts que « maman » se penche sur moi.
    
    — Mon pauvre chéri... continue à bien me laver, je vais te soulager.
    
    Elle pose ses lèvres sur mon gland qui me donne l’impression d’être en flammes. D’un coup, elle prend tout dans sa bouche.
    
    — Ah !...
    
    J’étouffe un cri. Mais avide, comme indépendante de moi, ma main s’est glissée entre ses cuisses.
    
    — Oui, soupire-t-elle en me donnant de petits coups de langue. Va... dedans... !
    
    Je n’hésite plus. Je fourrage comme un fou. Mes doigts entrent et sortent de plus en plus vite. Tout à coup, elle se renverse en arrière avec un râle de gorge.
    
    — Aaah !... N’arrête pas ! Je jouis... Petit salaud ! Tu sens comme je suis mouillée ?
    
    Ses cuisses se serrent sur mon poignet dans un spasme furieux. Elle se raidit. Ses yeux clos, ses narines pincées font presque peur. Je retire ma main. Elle bat des paupières, ...