Je l'appelais Maman (1)
Datte: 27/04/2021,
Catégories:
Hétéro
Auteur: doumeg170, Source: Xstory
JE L’APPELAIS « MAMAN », MAIS ELLE A ETE BEAUCOUP PLUS QU’UNE MERE POUR MOI.
Cela s’est passé il y a de nombreuses années. J’étais tout juste majeur et déjà bien bâti pour mon âge ; il est vrai que je pratiquais beaucoup de sport mais j’étais un grand timide et de ce fait, les filles n’en parlons pas...
Un jeudi matin, en m’habillant pour aller rejoindre mes copains au stade, je m’aperçois qu’il manque un bouton à mon pantalon.
N’étant pas très habile dans les travaux de couture, je pars à la recherche de notre bonne. Celle-ci était partie faire des courses. Je pénètre dans la chambre de maman pour lui demander son aide.
— C’est toi Paulo ? Je suis dans la salle de bain. Qu’est-ce qu’il y a ?
Mon père était naturiste et avait communiqué son enthousiasme à toute la famille. Aussi, nous ne gênions pas entre nous. Il n’y avait aucune hypocrisie, aucune pudibonderie inutile dans la maison.
— Je peux entrer ?
— Oui, je suis sous la douche.
Sans hésiter, j’ouvre la porte, Maman était nue. L’eau ruisselait sur son corps aux formes appétissantes. Elle se savonnait en chantonnant.
Ce n’était pas la première fois que je voyais maman en tenue d’Eve. En fait, il faut que je précise, je l’appelais « maman », mais elle n’était que la deuxième femme de mon père, une charmante belle-mère pour moi de dix-huit ans plus jeune que lui.
Quand nous nous croisions nus dans l’appartement, cela ne me faisait rien. Je n’ai jamais eu de pensées érotiques la concernant. ...
... Elle ne m’inspirait qu’une grande affection par son charme et sa gentillesse.
Mais ce matin-là, en la trouvant en train de se frotter l’intérieur des cuisses, ses mains mousseuses frôlant un endroit qui commence tout de même à m’obséder, je ressens un certain trouble. J’ai chaud. J’ai l’impression d’être fasciné par ses seins dressés. On dirait deux obus, tant ils sont fièrement pointés. Je n’en avais jamais vu de pareils.
Ce qui m’excite encore plus, c’est la toison épaisse qu’elle effleure sans arrêt. On dirait que je la vois pour la première fois. Je me sens dans un drôle d’état.
Je m’approche et lui dis de ce qui m’amène.
— Tu as le bouton ?
— Oui.
— Bon, je me sèche et je m’occupe de toi.
Elle sort de la douche. Des gouttes perlent sur son ventre un peu bombé, sur ses hanches arrondies. Elle se frotte avec une serviette. Quand elle la passe entre ses jambes, je me sens transpirer.
— Approche-toi, me dit-elle en s’asseyant sur le bord de la baignoire.
Elle ouvre un peu le pantalon pour trouver la place du bouton. Sa main frôle ma braguette. Je sens tout à coup mon sexe se raidir.
Jusque-là, ma belle-mère m’avait toujours considéré comme un adolescent. Devant l’enflure qui se distingue maintenant nettement à travers le tissu, elle me dévisage avec surprise.
— Mais dis donc, Paulo, fait-elle en passant la main sur la bosse, il y a longtemps que ton sexe devient comme ça ?
Je bafouille en évitant de la regarder et en rougissant.
— Euh... ...