Anales de Thomas 2
Datte: 26/04/2021,
Catégories:
Anal
Masturbation
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: strap_on_me, Source: xHamster
Annales de Thomas 2
La faute à l'ignorance des choses du sexe, la faute aux blagues graveleuses des ados sous perfusion de testostérone, la faute à l’enfer d'une bibliothèque pavoisée des indécences les plus inventives et les plus addictives, Thomas, vierge de corps et d’esprit, découvrit les avatars polymorphes du sexe avant même de rouler sa première pelle.
Explorateur d’univers intrigants dont ses congénères boutonneux eurent été décontenancés de soupçonner l’existence, il cartographiait les itinéraires des catins et des débauchés les plus irrévérencieux que l’humanité ait enfantés. Le flot subversif des informations puisées à la plume des pornographes de tout âge et de toute culture décuplait ses prouesses fantasmagoriques lors de séances masturbatoires où l’obsession le disputait à la frénésie.
Hussard, il embrochait jusqu’à la garde des vierges mijaurées, décapitait du téton juvénile à coup d’incisives effilées et rageuses, aspirait du clito à le rougir à blanc, fouaillait de la moule en braille, doigtait les culs serrés des pucelles aux cris plaintifs de chatons affamés, brassait de son gourdin le marigot gluant et odoriférant du vagin des mères de ses copines et des profs de son collège. Cracheur de feu spermatique, soudard sans scrupules, il subornait des mamans quarantenaires qui l'initieraient au plaisir de la chair. Dans ses rêves ! Spéléologue des gorges profondes, insatiable et avide de savoir, la curiosité l’éperonnait sans cesse en quête de voies ...
... inexplorées.
Hétaïre dévergondée, la veuve poignet exhumait de ses entrailles des jets de sperme qui s’engluaient dans la pilosité clairsemée de son pubis. Il portait ses doigts à son nez, goûtait de la langue la mayonnaise maison ou la laissait fondre sur son palais. Le désir l’harponnait au hasard. Dans son bain matinal où dérivaient les filaments laiteux de l’éjaculation figés par la chaleur. Dans les toilettes d’un train où l’avaient poussé une paire de seins et l’étoffe ent****rçue d’une culotte de coton blanc sous la jupe plissée d’une lycéenne. Dans celles du collège lorsque le miroir aux alouettes de son imagination spéculative avait bousculé sur toutes les coutures la prof de gym au cheval d’arçon, sa figue fendue moulée dans un legging blanc qui lui sculptait un cul de bombasse.
Les salopes qu’il asservissait mentalement à sa perversion n’avaient d’humain que leurs nichons, leur cul, leur bouche de suceuse. Des noms, des lèvres, des yeux les reliaient au quotidien : il enfilait sur un tronc anonyme les seins dont il avait soupesé les contours et la masse sous le pull rouge de la prof de physique, la gymnaste lui fournissait la chatte et le cul, la boulangère la bouche gourmande aux lèvres un peu grasses. Il convoquait des attributs sexuels et les assemblait en un puzzle criard. Thomas les désincarnait, les réduisait à des clones de poupées gonflables dont il crevait la baudruche de son dard affûté.
Son imagination féconde l’inscrivit au panthéon des défricheurs ...