Cadeau empoisonné
Datte: 25/04/2021,
Catégories:
fh,
extracon,
cadeau,
alliance,
enceinte,
douche,
Oral
nopéné,
Auteur: Abribus, Source: Revebebe
... convient parfaitement, et j’ose croire qu’à elle aussi !
Que de digressions ! Tout cela pour dire, donc, que je me tape régulièrement une petite branlette, et que pour ne pas me faire « surprendre » je fais ça vite fait bien fait dans la douche quand cela devient vraiment nécessaire.
C’est ce que je faisais ce matin-là, m’agitant vigoureusement le pénis préalablement savonné en songeant à des choses agréables, quand je vis du coin de l’œil (car je garde les sens en éveil, un vrai retour en adolescence, vous dis-je !) la porte s’ouvrir…
— Il y a quelqu’un ! criai-je en cessant illico mon activité manuelle susmentionnée.
Rien n’y fit, la porte s’ouvrit en grand sur… ma belle-sœur, en visite chez nous pour quelques jours, et d’habitude pas si matinale. Je commençai à protester tout en me tournant (qui a dit que les hommes ne sont pas multitâches ?) afin de lui présenter mon postérieur plutôt que mon appareil génital encore semi-bandé, mais rien n’y fit.
Elle referma la porte de la salle de bain et s’avança vers la cabine de douche tout en me faisant signe de garder le silence et en montrant la porte de la chambre où ma femme dormait encore. Puis se défit de sa robe de chambre. Et me voici, interloqué, devant le corps nu d’une jeune donzelle de vingt ans que j’ai connu petite fille, et que je n’ai jamais regardée autrement que comme un grand frère.
Il faut l’avouer ce corps est plutôt réussi, longues jambes, taille fine, mignons petits seins, … assez éloigné des ...
... formes plus voluptueuses de sa sœur, mais Alice est tout de même une bien belle fille ! Qui me fait immédiatement débander, il ne faut pas exagérer. L’incongruité de la situation est trop forte, et le premier moment de stupeur passé, je tente de réagir, mais elle est plus rapide.
— Ne dis rien… si je crie et qu’Audrey déboule ici comment t’expliqueras-tu ? Laisse-toi faire plutôt… et personne n’en saura rien… murmura-t-elle en se glissant dans la cabine de douche
Sans voix, je la laissai s’agenouiller, se saisir de mon sexe qui réagit aussitôt – la chair est faible. Et l’esprit aussi puisque je restai sans voix, sans réaction, le cerveau anesthésié par les sensations venant de mon bas-ventre habilement caressé, flatté et bientôt englouti par la jolie bouche de ma belle sœur !
À partir de là, tout était dit, et je me suis lâchement laissé faire, avec d’autant plus de facilité que la technique était incroyablement parfaite : me tenant les bourses d’une main, me flattant les fesses de l’autre, sa bouche alternait avec maestria les engloutissements profonds, les coups de langues délicieux et même d’inattendus et parfaitement maîtrisés mordillements ! elle s’arrêtait de temps à autre pour rependre son souffle, utilisant alors une de ses mains pour me maintenir fermement, puis revenait, léchant d’abord le gland d’un mouvement tournant et agaçant le méat de sa pointe, puis avalant centimètre par centimètre ma queue, à nouveau.
Combien de temps cela dura-t-il, je ne sais ...