1. Cadeau empoisonné


    Datte: 25/04/2021, Catégories: fh, extracon, cadeau, alliance, enceinte, douche, Oral nopéné, Auteur: Abribus, Source: Revebebe

    Ma femme est enceinte de huit mois quand se déroule cette histoire.
    
    C’est notre deuxième enfant, et l’enthousiasme général que procure la grossesse est bien moins fort que la première fois, mais j’aime pourtant toujours autant la transformation physique que cet état procure : je trouve ça beau, une femme enceinte, et la mienne encore plus, bien sûr.
    
    Dans mes souvenirs, les dernières semaines précédant la naissance de notre fils avaient été assez festives, sexuellement parlant, sans doute du fait de mon attrait pour ces nouvelles formes et ma volonté d’en profiter avant qu’elles disparaissent, d’une part, et d’autre part qu’Audrey se remette de l’accouchement – et ce fut plus long que prévu, mais c’est une autre histoire.
    
    Enfin, parce que je prévoyais que nos nuits seraient pour quelques temps un peu trop fatigantes pour penser à autre chose qu’à dormir !
    
    Ces souvenirs sont-ils le reflet de la réalité, ou bien embellis quelques années après ? Je ne le saurais sans doute jamais… Mais ils sont source de frustrations, car cette fois-ci c’est différent.
    
    Je l’ai dit, mon attirance physique est toujours présente, mais malheureusement elle ne peut être assouvie autant que nécessaire (je n’ai pourtant pas de grandes exigences en ce domaine, ma vie sexuelle semblerait sans doute bien fade et peu remplie à beaucoup, mais elle me convient !) : en effet cette fois-ci nos rapports sont désagréables, voire douloureux, pour Audrey, et je ne veux évidemment pas lui imposer ...
    ... ça !
    
    La solution des rapports sans pénétration vaginale est évidemment une possibilité, mais elle est frustrante pour ma femme qui y perd la plus grande partie de son plaisir, et qui préfère finalement pas de rapport du tout plutôt que des rapports inaboutis.
    
    Me voici donc tenaillé entre, d’une part, un désir bien naturel qui revient régulièrement, et ma volonté de ne pas blesser ni frustrer celle que j’aime ; d’autant plus, au moment où elle est plus sensible et plus fatiguée que la normale.
    
    La solution que j’ai trouvée est des plus simples et des plus évidentes sans doute pour tout homme : quand le désir se fait trop ardent, je reviens en adolescence et me soulage tout seul, comme un grand, « à la main ». Mais là encore, cette solution a ses obligations : tout comme à l’adolescence, ne pas se faire surprendre, car c’est un truc que ma femme ne comprend pas. Que je puisse me masturber encore à mon âge la dépasse et, je pense, la choque un peu, ou la vexe.
    
    J’ai l’impression que par ma description, Audrey passe pour une chieuse de service, coincée, sans attrait aucun pour les choses du sexe : ce n’est pas le cas, loin de là, rassurez-vous. En temps normal, tout se passe bien et nous ne nous refusons pas grand chose en ce domaine (sans être non plus portés sur les pratiques extraordinaires) : chacun de nous a ses préférences et ses répulsions, et au bout de dix ans de vie commune, bien sûr, c’est un peu plus « plan-plan » qu’à nos débuts, mais notre vie sexuelle me ...
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