1. L'espionne


    Datte: 25/04/2021, Catégories: BDSM / Fétichisme Hardcore, Sexe Interracial Auteur: michelemimi, Source: xHamster

    ... pouvais que subir cette copieuse fessée.
    
    « Puisque tu veux jouer les effarouchées, on va donc employer les grands moyens pour te faire plier salope ! »
    
    Prestement il me portèrent dans un hangar comme un sac de pomme de terre que l’on jette sur l’épaule. Ils m’enfermèrent alors dans une cage. Je me retrouvais ainsi enfermée, agenouillée, dans cette cage avec la tête et les fesses dehors. Ils attrapèrent un palan et firent monter la cage d’un mètre au dessus du sol. Ils rigolaient tous de voir leur proie se balancer, traumatisée et tremblante.
    
    Leurs chef s'approchât de moi.
    
    « Chienne d'incroyante, tu veux partir ? Mais j'te rappelle que nous avons conclu un accord avec ton gouvernement. Et il nous laisse faire de toi ce que l'on veut. On va te faire vivre de gré ou de force des expériences dont tu t'souviendra salope ! Tu peux, crier, hurler si tu veux. T'es notre chose. Tu vas déguster crois-moi ! J’ai invité du monde, tu seras notre pute. Une salope d'incroyante qui va se faire troncher de force. Ton corps ne sera que douleur ! »
    
    Soudain, je disjonctais par la peur et leurs criais des flots d'insultes.
    
    « Tu veux gueuler on va t'en donner la raison putain ! »
    
    Pour me punir, il me plaçât des pinces sur mes seins et tirât dessus me faisant hurler de douleur.
    
    « Tu vas réfléchir à deux fois avant de nous insulter chienne ! »
    
    Je mesurais de plus en plus l’étendue de ma déchéance et du piège dans lequel mon gouvernement m'avait jeté. Dans son champ de ...
    ... vision apparût soudain un black avec un gourdin de chair à la main. Il se plaçât derrière moi et je sentis son gourdin contre mes fesses. Le black prit la commande du palan pour me faire monter un peu. Le gros gland fouillât un instant entre mes lèvres intimes à la recherche de la faille dans laquelle il va s'engouffrer sans pitié. Après quelques mouvements doux, dans mon vagin qui mouillait malgré moi, il entreprit un martèlement sauvage qui m'arrachât des cris de douleurs. Lors de ce coït viril, les pinces posées sur mes seins se balancaient et me faisaient un mal de chien.
    
    Tout en me bourrant rudement, il lui dit :
    
    « Toi t'as du mal parler au patron. Ce genre de chose, il peut très vite te faire regretter d’être née si tu lui parles mal. »
    
    Lorsqu’il se lâchât en moi, ils se retirât en me donnant une grande claque sur la fesse avant de quitter les lieux. J'avais la chatte qui dégoulinait de sperme. Je me demandais combien de mecs viendraient s'offrir mon corps. Le Chef sortit à son tour sa grosse queue.
    
    « J'vais lui baiser la bouche à cette pute ! »
    
    Il Me forçât la bouche sans peine et se mit à la baiser dans une sorte de chevauchée fantastique qui m'étouffait. A la recherche de son plaisir physique, il accélère et ralenti en fonction de sa montée de sève jusqu’au moment où, ni tenant plus, il s’abandonnât à la jouissance innondant ma gorge et m'obligeant à avaler.
    
    La chose faite, il se retirât et me laissât là, suspendue. Il revint quelques minutes plus tard ...