Mon fils, mon maitre (1) - Histoires de Sexe

Mon fils, mon maitre (1)

... autre se plaque sur ma bouche. Je suis encore dans mon sommeil et me demande ce qui se passe. Je ne peux pas crier avec cette main qui se plaque sur ma bouche. Je suis couchée sur le côté et je sens une main glisser entre mes cuisses. Elle remonte vers mon sexe et je me débats. Je sens un poids se poser sur moi, limitant bon nombre de mes mouvements. Une voix s’élève dans la noirceur de ma chambre :

— On va oublier le cambriolage et on va se la faire cette salope !!

— Oui, elle est bonne et je suis sûr qu’elle aime la bite !! Répond la voix de l’homme qui est au-dessus de moi.

Je me débats autant que je peux mais le poids de l’homme qui est au-dessus de moi m’immobilise d’une manière certaine. Mon cerveau ne fait qu’un tour et je me dis qu’il ne peut s’agir du contrat que j’ai signé. Comment ces hommes ont-ils pu entrer chez moi avec toutes les protections qu’offre notre logement ? Je n’ai pas le temps de plus y réfléchir car l’homme qui avait sa main sur ma bouche me pince le nez pour m’empêcher de respirer. Je n’ai pas eu le temps de crier que je sens une bite entrer dans ma bouche. Je resserre ma bouche mais une gifle bien appuyée me fait comprendre que je n’ai pas le choix. Mes pensées ne font qu’un tour : j’ai commandité un viol mais il n’est pas possible que cela se passe à mon domicile. Ces hommes sont donc de vrais cambrioleurs qui veulent maintenant s’acharner sur moi. J’ai une queue dans la bouche, des doigts qui s’agitent sur mon sexe et je sens mon sexe ...

... s’humidifier. Non ! Je ne vais pas leur offrir ce plaisir, je vais me battre ! Je me déhanche du mieux que je peux pour empêcher les doigts de prendre possession de ma chatte mais deux doigts se sont introduits à l’intérieur et mon agresseur a bien compris que je mouille déjà fortement. Je me débats du mieux que je peux et je tente de crier malgré le chibre qui encombre ma bouche. J’espère pouvoir alerter mon fils et qu’il vienne à mon secours. De longues minutes passent mais les secours n’arrivent pas. Je me déhanche le plus possible pour éviter les doigts qui fouillent mon intimité mais mes cris sont étouffés par l’énorme bite que j’ai dans la bouche. A force de lutter et de ne pas voir mon fils accourir à mon secours, les larmes me montent aux yeux et je me mets à pleurer totalement résignée. Je cesse de me déhancher et je suce doucement la queue que j’ai en bouche jusqu’au moment où j’entends dans le noir une voix familière, celle de mon fils :

— C’est bien les gars, vous avez fini par l’amadouer cette salope !

— Ç’a été plus facile que prévu ! répond celui qui me donne sa queue à sucer.

— Elle mouille comme pas possible ! rétorque celui qui me vrille la chatte avec ses doigts.

— Vous allez pouvoir la baiser à votre guise maintenant qu’elle est bien chaude ! Moi, je vais lui baiser la bouche comme elle ne l’a jamais imaginé ! Rétorque la voix d’Antoine.

— On peut tout faire ? lui demande celui qui me défonce la bouche avec sa queue.

— Tout ce que vous ...