Mon fils, mon maitre (1) - Histoires de Sexe

Mon fils, mon maitre (1)

... et la chatte toute trempée. J’ai tenté de me résonner et de me rappeler les préceptes que m’avaient inculqué mes parents mais il n’y avait rien à faire, le rêve revenait sans cesse. J’ai cherché à comprendre ce qui m’arrivait et je me suis dit qu’il y avait sûrement un manque. En effet, depuis plusieurs mois, mon mari me délaisse. Il n’est que très rarement à la maison car ses affaires l’entraînent partout dans le monde et ne lui laissent que peu de temps pour s’occuper de moi. Certes, lorsqu’il rentre à la maison il est attentionné mais il n’a plus la même fougue au lit. Je me suis demandé s’il n’avait pas une maîtresse mais je me suis vite raisonnée en pensant que son travail lui prenait trop de temps. Puis mon rêve a changé le jour où j’ai fait une découverte dans le bac à linge sale. Comme je vous l’ai dit, nous avons une bonne mais je lui interdis de toucher à notre linge car c’est une chose que je trouve trop intime pour lui confier. Il y a pratiquement deux semaines, j’ai retrouvé l’un de mes strings tout humide au fond du bac. Me demandant ce qui avait pu se passer, je portais le sous-vêtement à mon nez. Il n’y avait aucun doute, mon string sentait le sperme. Mon mari n’étant pas présent, cette semence ne pouvait venir que d’une seule personne, mon fils Antoine. Malgré un sentiment de colère, je sentis ma petite chatte s’humidifier et je fermais les yeux en pensant à mon fils en train de se branler dans mon string. Je chassais très vite ces images de ma tête et ...

... décidais de faire comme si je n’avais rien vu. La nuit suivante, je refis mon rêve de viol à la différence que mon fils était présent et que, lui aussi, abusait de mon corps. Au matin, je me réveillais la chatte trempée comme jamais et ce trouble finit par ne plus me quitter. Le rêve revenait sans cesse et, pire, j’y pensais même le jour. Mon esprit vagabondait en permanence et je me voyais prise de force par plusieurs hommes sous le regard de mon fils qui les haranguait pour qu’ils me défoncent avant de lui-même abuser de mon corps. Un soir, alors que je n’en pouvais plus de ces visions, j’ai prétexté une grosse fatigue auprès de mon fils (il est toujours à la maison car son école d’ingénieur est à 15 minutes de la maison) pour me réfugier dans ma chambre. Là, j’ai pris ma tablette et je suis allée sur des sites plus ou moins avouables pour me faire une idée de ce qui pouvait m’arriver. Alors que j’étais sur un site qui traitait des fantasmes et qui disait que le meilleur moyen de s’en absoudre c’était de le vivre, une pub apparut vantant les mérites d’un site qui se proposait de réaliser tous vos fantasmes. Sans réfléchir, je cliquais sur cette nouvelle fenêtre et je me retrouvais sur le site. Je découvris une page qui vantait les mérites de cette entreprise et plusieurs onglets qui classaient les fantasmes par catégorie. Je cliquais sur l’onglet "viol" et après avoir lu la page, je m’intéressais aux commentaires. Ils étaient tous plus élogieux les uns que les autres. Tous les ...